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riorité au machinisme, et la déplorent. Plusieurs
jeunes
songent que dans une Europe vieillie, les parfums puissants de l’Asie
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frappant dans les générations nouvelles. Toute la
jeune
littérature décrit un type d’homme profondément antisocial, glorifie
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r, l’un des derniers venus, Marcel Arland, — plus
jeune
, il n’a pas fait la guerre — c’est le même désenchantement précoce, s
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squisser. Mais on trouve tout dans les livres des
jeunes
, dites-vous, le pire et le meilleur, toutes les vieilleries morales e
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une folie de s’emballer. La plupart des romans de
jeunes
qui se situent entre Gide et Aragon nous montrent le même personnage
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ite. Tel est l’état d’esprit de la plupart de nos
jeunes
moralistes. Le mot de paradoxe serait bien pauvre pour expliquer ce b
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iques. Mais que nos moralistes — presque tous les
jeunes
écrivains — se souviennent de penser en fonction du temps présent, so
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ulait…) o. « Adieu, beau désordre… (Notes sur la
jeune
littérature et la morale) », Bibliothèque universelle et Revue de Gen
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nstruction et de synthèse qui se dessine chez les
jeunes
écrivains d’aujourd’hui. La « critique philosophique » qu’il voudrait
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mpérament le plus hardi et le plus original de la
jeune
littérature française. Il le proclame « J’appartiens à la grande race
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r ne ressent plus, il suffit de quelques mois aux
jeunes
époux de la Maladère pour se déprendre de leurs rêves. Un malentendu
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tion naturelle a rapproché, dans sa maturité, des
jeunes
générations, en sorte que l’espèce de romantisme à la Nerval auquel i
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lui-même s’est plu à relever les indices chez ses
jeunes
contemporains, et qu’il vient appuyer de son autorité de critique et
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d se promène sur le même monde où se plaisent nos
jeunes
poètes cosmopolites, mais il garde une certaine discrétion, cet air d
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vois un signe charmant d’amitié de l’aîné au plus
jeune
, lequel envoie l’un de ses personnages pour remercier ; (pouvait-il m
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même, on est bien heureux de rencontrer chez les
jeunes
écrivains français un homme qui ait à ce point le sens de l’époque, u
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ienne. Entre hier et demain : Une femme « encore
jeune
» se souvient d’un danseur de ses 20 ans, d’une aventure qui aurait p
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vocation toute nervalienne en sa nostalgie, de la
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étrangère dont on rêve à 15 ans ; et voici ce je ne sais quoi, ce dél
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Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)ap Un
jeune
auteur raconte dans une lettre à une amie comment il a écrit, sur com
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s cours de l’Europe centrale, qu’elle subit comme
jeune
épouse d’un comte polonais, grand seigneur médiatisé, vaguement préte
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(belles). Il est même un des très rares parmi les
jeunes
qui ait vraiment donné quelque chose. C’est pourquoi j’ai lu ce livre
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évadé, on le traque à Paris même… Il subjugue le
jeune
Français par ces évocations et l’espèce de fièvre qu’il y apporte. Ma
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a main rapide et minutieuse, décrire la vallée du
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Rhin ou les pentes de Chésières en les parant d’une grâce malicieuse
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oit la famille indignée, une mère qui souffre, un
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frère qui rêve. Le livre se résout dans une amertume vague. Ceux qui
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nes pour demain, présentations de mes Espoirs aux
jeunes
Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à