1
ge Dès le début de l’action intellectuelle des
jeunes
mouvements personnalistes, l’engagement devenu slogan se verra récupé
2
our qui s’en étonnerait, voici l’explication. Les
Jeunes
du RPR, donc de son parti, avaient adopté mon titre15 comme slogan pe
3
aires de la France dans l’Europe des Neuf sont de
jeunes
nations. L’on comprend que celles-ci soient moins attachées à leur id
4
nation, a presque aussi peur que l’Irlande, très
jeune
nation (toutes les deux étant îles de surcroît), de « perdre son iden
5
s « non-conformistes des années 1930 », celle des
jeunes
mouvements personnalistes français, anglais, belges, hollandais, alle
6
crit à une centaine « d’intellectuels » d’Europe,
jeunes
et vieux. T. S. Eliot m’a répondu : « I feel that at the present time
7
ont pas été remplacés, que je sache, par des plus
jeunes
. Lesquels se trouvent désormais mobilisés par des activités purement
8
ou trilogues, échanges d’articles, révélation de
jeunes
talents, d’écoles nouvelles… Après la guerre de 1939-1945 ne surnage
9
compagné de son élève préféré, Thomas d’Aquin, un
jeune
prince napolitain qui est le petit-neveu de l’empereur Frédéric Barbe
10
des plus agitées. Comenius perd ses parents très
jeune
et son éducation sera négligée : il ne peut commencer des études lati
11
heurs et pérégrinations : il perd sa femme et ses
jeunes
enfants, puis il est expulsé de Bohême et se réfugie en Pologne, où l
12
e Brasillach foudroyé à Nuremberg par la grâce du
jeune
nazi (« fier de son corps vigoureux » et « appuyé sur sa race ») et c
13
t qu’entre un vieux sénateur radical décoré et un
jeune
SA, le dialogue me semblait difficile. C’était exact. Un ami vient de
14
quis définitif du personnalisme7) » ; et c’est la
jeune
droite qui, avec Bardèche ou Drieu, s’engage à « marcher avec n’impor
15
soupçonnera-t-il que l’impayable sérieux de notre
jeune
lévite est aussi une recette de succès : déjà B.-H. Lévy a ses imitat
16
vy. On les trouvera dans la « Lettre ouverte d’un
jeune
français à l’Allemagne »64 publiée dans le n° 5 d’ Esprit . « Mon tém
17
Mon témoignage sera, si tu veux bien, celui d’un
jeune
français qui a éprouvé sur place la force actuellement inévitable des
18
me (Lévy dirait dans la complicité) : « Quant aux
jeunes
français et allemands, s’ils dépouillent les idées reçues, s’ils cons
19
article de Raymond Aron, la « Lettre ouverte d’un
jeune
Allemand à la France ». Elle est signée Harro Schulze-Boysen, qui éta
20
ne Révolution dont Raymond Aron n’a dit mot : La
jeune
génération du Reich ne peut faire autrement que de condamner et de co
21
s intolérables un front unique de combat, que les
jeunes
se montreront réellement capables de servir leur pays. […] Nous lutto
22
er le sort prochain du projet Europe. II. Les
jeunes
mouvements : pour une Europe des régions fédérées À l’heure où cec
23
ent considérés comme tels. Quelques exemples. Les
jeunes
giscardiens s’annoncent comme « amoureux fous de l’Europe de la liber
24
égions 84 et dans L’Avenir est notre affaire . «
Jeunes
giscardiens » : on se croirait à droite. « Les Verts » : voilà qui év
25
au pouvoir et du règne incontesté de Staline, un
jeune
mouvement personnaliste, L’Ordre nouveau 75 résumait sa critique de
26
raineté nationale absolue semblent intéresser les
jeunes
générations. Or, l’histoire de l’humanité n’est pas faite seulement d
27
atulations et de conseils de prudence. Mais 300 «
jeunes
Européens » ont décidé de manifester : ils ont été à la frontière fra
28
humeur proverbiale, mais votre Assemblée est trop
jeune
. Je lui propose quelques slogans nouveaux et quelques amendements à l
29
s. Il s’agit d’un projet conçu par Daniel Villey,
jeune
professeur à la Faculté de droit de Poitiers et fondateur d’une organ
30
bourg en ce mois de novembre 1950, et beaucoup de
jeunes
, mais aussi des représentants des syndicats et du patronat — Georges
31
La Marche sur Strasbourg. Mais l’odyssée des 6000
jeunes
venus de toute l’Europe en autocars à l’appel de l’UEF91, et sans res
32
diger le texte du message que le porte-parole des
jeunes
sera chargé de présenter à l’Assemblée. Voilà qui nous promet, à Dade
33
reau de l’Assemblée, doit recevoir le message des
jeunes
et lui répondre. Voici le discours qu’il entendra : Aux Délégués de
34
es catastrophes qui s’approchent — c’est nous les
jeunes
qui les paierons demain, peut-être même de notre vie. Nous ne sommes
35
nos actes. On reste curieux de savoir ce que ces
jeunes
d’alors pensent aujourd’hui, c’est-à-dire trente-quatre ans plus tard
36
moins. Nous vivions l’époque héroïque des gens —
jeunes
de tout âge — qui « marchent » pour rien, pour l’idée… Je me trompe ?
37
européen, dont le président était Duncan Sandys,
jeune
ancien ministre anglais des Armements et gendre de Churchill, et le S
38
u directeur (sans doute croyait-il que j’étais un
jeune
professeur d’université). Je me suis révélé ainsi à mes professeurs d
39
s étions neuf conférenciers, dont j’étais le plus
jeune
, et j’ai parlé des maladies de l’Europe, de la mauvaise mine que je l
40
mois, car je viens de recevoir un manuscrit d’un
jeune
colonel français. Il s’agit d’un livre qui s’appelle La France et son