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isse que de méchanceté. J’ai reçu cet hiver, d’un
jeune
nazi, une lettre significative, et à certains égards, fort émouvante.
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l’assiéger, comment ne point songer à la piété du
jeune
Luther, et à ce drame de Wittemberg dont la Réforme devait sortir ? R
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s de celle-ci, tel le curé Matthias Hattinger, le
jeune
Nicolas avait subi l’influence très profonde du mouvement des « Amis
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combat qui nous maintienne humains. Tout cela, un
jeune
poète de génie, Arthur Rimbaud, l’a dit d’un seul trait prophétique :
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la caricature. J’ai entendu, de mes oreilles, un
jeune
pasteur remercier Dieu, du haut de la chaire, de ce que Dieu « nous a
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t, de mutuelle instruction, qui est la mission du
jeune
mouvement œcuménique. ⁂ Je me bornerai, en terminant, à vous rappeler
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champions de cet art ; et comme j’étais alors une
jeune
recrue animée d’un extrême désir d’être promu au grade de lieutenant,
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’entre eux cependant m’observait. C’était un tout
jeune
lieutenant. « Vous tirez mal », dit-il avec une douceur froide, au mo
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isives à mon sens, du conseil en trois mots de ce
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officier — « pensez au noir » —, elles ne devaient m’apparaître qu’ap