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par la voix de leur président, et la mimique d’un
jeune
aviateur, dont la mâchoire furieuse remâche une incompréhensible colè
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ent le nom de Toyohiko Kagawa, le grand leader du
jeune
Japon. Cet homme extraordinaire que l’on a surnommé le forki japonais
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Sans les valeurs anarchiques qu’ils défendent, le
jeune
bourgeois émancipé ne pourrait pas « vivre sa vie ». Il se sentirait
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e même. Ils influencent au hasard, entraînent les
jeunes
à hue et à dia, lancent des modes, les renient, se persuadent de l’im
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j L’amour d’un homme de cinquante ans et d’une
jeune
femme forme l’unique sujet de cette méditation. Deux êtres très diver
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coup de griffes sur Gide et Balthazar Gracian. La
jeune
femme qu’il aime et qu’il entreprend de conduire à la maîtrise de soi
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éditeur qui publia ce résumé de la vie nulle d’un
jeune
bourgeois ? k. « Maurice Meunier, Idoles, Gallimard », Esprit, Pari
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métier, ou certains accidents heureux, entre des
jeunes
bourgeois, des jeunes paysans et ouvriers plus ou moins « déclassés »
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ccidents heureux, entre des jeunes bourgeois, des
jeunes
paysans et ouvriers plus ou moins « déclassés » comme le sont aujourd
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corps tout frémissants de nostalgies naïves et de
jeunes
ruses. On sent que Breuil est mêlé de très près à l’existence de ses
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e, et non les gens âgés qui possédaient tout. Ces
jeunes
Allemands qui doivent supporter de nos jours toutes les misères du mo
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un à toutes les disciplines que l’on enseigne aux
jeunes
clercs : et c’est la volonté, consciente ou non, d’esquiver l’engagem
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la foule. Je me trouvais au milieu d’ouvriers, de
jeunes
miliciens du Service de travail, de jeunes filles, de femmes mal vêtu
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’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la
jeune
révolution. Angoissés par la crise occidentale et l’isolement où ils
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la conscience aiguë qu’ils en possèdent, que les
jeunes
komsomols et brigadiers de choc s’imposent une morale ascétique, acce
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au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la
jeune
Russie, notre devoir n’est pas de railler des naïvetés plus sympathiq
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terai de critique méfiante, dans la mesure où les
jeunes
communistes viennent à nous avec cette morgue que l’on disait naguère
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tain nombre de possibilités dont les nations plus
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se sont volontairement privées. Elles s’honorent d’avoir une presse d
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attentive. Mais on n’aime pas que « l’afflux des
jeunes
talents » soit si visiblement déterminé par les clauses d’un contrat
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t-treizième-mille. Les trois derniers romans d’un
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auteur, Ernst Wiechert, ont atteint quatre-vingts, soixante-quinze et
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ion. Et les poètes ne restent pas en arrière : le
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Gerhard Schuhmann, qui est nazi, a des tirages de douze-mille, et le
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alousie qui se crée son objet, par masochisme. Un
jeune
mari trouble sa femme, et la perd enfin, à force de souffrir d’une in
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um de cartes postales en couleur : soir de Capri,
jeune
princesse peignant à l’aquarelle, baisers dans les jardins pendant le
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olupté les « hommes de quarante ans » et certains
jeunes
qui ne les valent pas. Je ne pressens rien de créateur, ni rien de ré
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st dit aussi par le vallon des oliviers et par sa
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nudité. Pas une vapeur ne s’élève de l’herbe pauvre des terrasses, ni
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qu’il s’agit là de « préjugés », comme disent les
jeunes
personnes en mal d’émancipation. C’est bien plus grave. C’est aussi g
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pensée solitaire, — et le bonheur. Tandis que les
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, les malheureux, respectent la politique, ne veulent la vérité qu’au
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les anciens étaient « intellectuels », et que les
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se voient contraints par la logique des circonstances à se montrer pl
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On goûta beaucoup l’euphémisme. Mais lorsqu’un «
jeune
» fit remarquer que la génération des anciens est essentiellement cel
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gissait pas du tout de cela, et que la pensée des
jeunes
se veut active en ce sens qu’elle vénère « ce qui rapporte », matérie
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sion. Les anciens se vantaient et accablaient les
jeunes
. Ceux-ci refusaient de se reconnaître dans le signalement qu’on leur
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quelque chose. S’il est vrai que penser, pour les
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, équivaut à gagner de l’argent, M. Benda est auprès de nous un grand
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un divertissement sans conséquence. Il existe des
jeunes
écrivains qui ne sont pas embrigadés mais qui savent que toute œuvre
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l’influence est loin d’être négligeable chez les
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écrivains français et belges, et s’allie parfois curieusement avec l’
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rer de l’optimisme assez épais où s’endorment les
jeunes
Suisses, trop assurés, comme le dit Cingria, de trouver chaque matin
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un autre à Bâle : Jacob Burckhardt, Overbeck, le
jeune
Nietzsche. Et tout cela fait, par le moyen de la Suisse, une assez be
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uels nihilistes ou romantiques, qui inspirait les
jeunes
chefs bolchéviques, se traduisit dans la réalité par une généralisati
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se contente d’épouser la veuve du brasseur, ou ce
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fou qui aime la fille du roi, mais l’homme pieux qui estimait que la
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reur morale qu’elle suppose. Lorsqu’on incite les
jeunes
fiancés à calculer leurs chances de bonheur, on détourne leur attenti
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hier, et relative à mon Amour : « Quand j’étais
jeune
, j’aurais parfaitement méprisé votre manière si cavalière d’expédier
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ieux chefs, et de bouillantes interruptions de la
jeune
garde. Les partis, dans les commissions du Congrès et du Sénat, se so