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applaudissements éclatent au fond de la salle. Le
jeune
orateur électrisé se lance dans une définition vibrante de la laïcité
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rièvement. Mellouin a même crié : Très bien ! Les
jeunes
trouvent qu’« il cause bien ». Pour terminer la soirée, on passe un d
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irage. L’orateur se hisse sur la scène : un homme
jeune
encore, un peu gros et lent d’allure, physionomie ouverte et sérieuse
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de main aux voyageurs chargés de paquets ou d’un
jeune
veau, ou d’un enfant hurlant et admiré, d’arrêts et de détours imprév
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évidemment à leur métier. Ce sont, en général de
jeunes
gaillards solides et gais, et qui ont toutes les raisons d’aimer le t
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nner trois « causeries » devant des auditoires de
jeunes
cultivateurs. Eux-mêmes avaient fixé la liste des sujets qu’ils désir
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ilà un que l’on pourrait sans honte présenter aux
jeunes
Russes, aux jeunes Allemands, comme un type de jeune Français. » Je r
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rrait sans honte présenter aux jeunes Russes, aux
jeunes
Allemands, comme un type de jeune Français. » Je retiens de cette jou
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es Russes, aux jeunes Allemands, comme un type de
jeune
Français. » Je retiens de cette journée deux impressions (je n’ose pa
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ir d’un brave type comme nous autres. Rêverie des
jeunes
cultivateurs.) Et quand j’eus terminé ma causerie, évitant de prononc
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ais c’est toujours de la politique. Quand j’étais
jeune
, j’ai beaucoup lu Anatole France, c’est à cause de lui que j’ai perdu