1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
1 ’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la jeune révolution. Angoissés par la crise occidentale et l’isolement où ils
2 la conscience aiguë qu’ils en possèdent, que les jeunes komsomols et brigadiers de choc s’imposent une morale ascétique, acce
3 au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, notre devoir n’est pas de railler des naïvetés plus sympathiq
4 rai : de critique méfiante, dans la mesure où les jeunes communistes viennent à nous avec cette morgue que l’on disait naguère
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
5 tain nombre de possibilités dont les nations plus jeunes se sont volontairement privées. Elles s’honorent d’avoir une presse d
3 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
6 ession même de Marx. « Marx, révolutionnaire mort jeune  », a-t-on écrit avec une précision que la publication des écrits de j
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
7 de sa force, et la conscience de sa mission, les jeunes empires qui la défient sont prêts à enregistrer cette carence histori
8 ge du poète). Je voudrais bien citer Joyce et ses jeunes disciples, mais je crains qu’ils ne fassent une erreur importante en