1 les biographes. On a souvent rappelé l’amitié du jeune bourgeois de Francfort et de la sage et très fervente Mlle de Kletten

2 r de purement « étrange » ont à peine enfiévré le jeune Goethe, que déjà la faiblesse du corps le ramène à l’aspect concret d

3 z la dialectique faustienne dans la vie d’un être jeune , et libre encore de toute contrainte sociale et culturelle : le dessi

4 Mais quel écho n’eût-il pas éveillé dans l’âme du jeune ministre de 32 ans, adonné vers ce temps au plus dur effort d’organis

5 nt les composantes nordiques de la psychologie du jeune Goethe : le romantisme, le goût de la magie, et cet élan qu’il nommer

6 Mais le défi jeté à Dieu sembla porter bonheur au jeune berger. Il devint commerçant et fit une belle fortune. Et c’est ainsi

7 seule chose »22 On m’a conté l’histoire d’un jeune Français qui, par dégoût d’une vie qu’il juge absurde, consacre désor

8 à n’en pas douter, l’incapacité de la plupart des jeunes contemporains de Goethe à donner des œuvres achevées. En effet le mou