1 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
1 ys chauds, perd son ombre, à force de rêver à une jeune femme qu’il aperçoit de sa fenêtre. « Mais dans ces climats chauds, d
2 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
2 ur ouvre de gros yeux fixes, où rien ne vient. Le jeune prédicateur Flachs, lui, serait tout disposé à se lamenter ecclésiast
3 , la tête de beaucoup d’êtres, les souffrances du jeune Werther, un petit champ de bataille, lui-même enfin, en train de se t
3 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
4 rait l’empire de ce monde ? À l’Ecclésiaste ou au Jeune Homme ? Le sage ne rallierait pas avec moins d’envie le débauché, don