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lisse et passe ici, vers l’oubli, vers la vie. La
jeune
Américaine quitte son fiancé qui s’embarque pour une guerre lointaine
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mmes ; un peu plus de souplesse aux chevilles des
jeunes
femmes ; un peu plus de sourires sans raison échangés avec les passan
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ples que de les mélanger dans leurs épreuves. Les
jeunes
Américains se sont trouvés mêlés au grand malheur des peuples qu’ils
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cLeish et Steinbeck, frappés d’ostracisme par les
jeunes
écrivains, le premier parce qu’il est devenu un personnage officiel,
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-major de lecteurs, d’agents publicitaires, et de
jeunes
femmes nommées editors, dont la tâche officielle est de récrire les m
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emps de là, le principe même du rewriting avec un
jeune
journaliste américain. Il avait lu ma lettre et souriait sans mot dir
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Dos Passos, Steinbeck et Hemingway, dont tant de
jeunes
auteurs s’inspirent depuis quelques années. Je ne songe pas seulement
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, exprime avec un grain d’humour l’attitude de la
jeune
Amérique vis-à-vis du problème des sexes. Si vous tenez entre vos mai
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néma. Ce « tonitruant troisième sexe » dérobe aux
jeunes
femmes — selon le même auteur — « cette part de la personnalité du fi
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s qu’aucune autre. Dans la femme qu’il épouse, le
jeune
Américain, inconsciemment, cherche la mère. Il la sert, elle l’endort
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la vie, mais pour un bail « trois-six-neuf ». Une
jeune
héritière très connue déclarait à un groupe de journalistes qui la fé
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au niveau de la culture. Puritain ou émancipé, le
jeune
Américain semblerait un peu fade à nos romanciers de l’amour. Il rest
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justes » limites, fixées par le Comité Hays, — le
jeune
Américain, s’il trouve une voie saine et quelques disciplines pratica
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ieux chefs, et de bouillantes interruptions de la
jeune
garde. Les partis, dans les commissions du Congrès et du Sénat, se so