1 r dans le langage pudique et parfois si pédant du jeune disciple de Hegel. Entre la spontanéité démoniaque du désir, irrité p

2 umbert tuera. À 17 ans, mariée depuis peu avec un jeune et brave technicien, elle meurt en couches, quelques semaines après H

3 ait peut-être 12 ans, en compagnie d’un père très jeune ou frère aîné. Sa façon d’entrer, de s’asseoir, de tendre négligemmen

4 s, l’oblige à rompre ses fiançailles avec la très jeune Ophélia et le fait passer pour un dangereux exalté. Finalement, il se

5 deux héros, l’un fictif et l’autre réel. Hamlet, jeune prince royal, est un intellectuel. Il n’a d’autre désir que de retour

6 d’une sorte de neurasthénie : « J’ai vécu dès mes jeunes années sous l’empire d’une immense mélancolie, dont la profondeur n’a

7 e courant du terme de vocation. On dit ainsi d’un jeune garçon qu’il a une vocation d’avocat, ou de poète ; c’est qu’il aime

8 nde fois la ruine absolue de tout.30 Certes, le Jeune Homme d’In Vino Veritas, qui n’a jamais encore aimé, a beau jeu de fa

9 nnès, le Séducteur, prouve simplement que « notre jeune ami reste au-dehors », c’est-à-dire n’entretient encore que des rappo

10 e — non seulement puritaine — entretenue chez les jeunes bourgeois — et non seulement de son époque — entre tabous sexuels et

11 page où il décrit sa première expérience avec un jeune garçon, il proclame sur le mode majeur cela même dont il gémira en ta

12 avoir commis par forfanterie d’immoraliste. Or le jeune Gide, en pressent l’épouvante, s’il vient à désirer une femme qu’il a

13 hibé. 2° En revanche, désirer les corps brunis de jeunes « vauriens » qu’on ne reverra jamais n’est certes pas bien vu dans « 

14 se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céleste, jeune femme d’une beauté resplendissante et qui lui dit : — Je suis toi-mêm