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st le motif consacré de la vierge délivrée par un
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paladin.) Blessé par le monstre, Tristan est soigné de nouveau par Is
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e ? Lycurgue, législateur de Sparte, imposait aux
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mariés une abstinence prolongée. « C’est afin — lui fait dire Plutarq
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pommes. Après Noël, au temps où l’Enfant est trop
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pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’of
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enchère. » (II, p. 234.) Enfin, l’on sait que les
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Celtes au moment de la puberté, donc au sortir de la maison des homme
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veut servir désormais, oblige Racine à rendre le
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prince insensible à l’amour de Phèdre. Il déclare donc cet amour ince
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e imperfection : ce qui faisait que la mort de ce
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prince causait beaucoup plus d’indignation que de pitié. J’ai cru lui
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endra des mandragores, des femmes sans corps, des
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Parques, des apparences à peine féminines de fuites — comme on dit qu
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rne. Le roi Marc est devenu le Cocu ; Tristan, le
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premier, ou gigolo ; Iseut, l’épouse insatisfaite, oisive et lectrice
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part, dans les pays totalitaires, le dressage des
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par l’État tend à éliminer de la vie privée toute espèce de tragique
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uels nihilistes ou romantiques, qui inspirait les
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chefs bolchéviques, se traduisit dans la réalité par une généralisati
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droit de ne point l’honorer ; comme le fit cette
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milliardaire disant aux journalistes, la veille de son mariage : « C’
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se contente d’épouser la veuve du brasseur, ou ce
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fou qui aime la fille du roi, mais l’homme pieux qui estimait que la
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reur morale qu’elle suppose. Lorsqu’on incite les
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fiancés à calculer leurs chances de bonheur, on détourne leur attenti
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relation d’un entretien qu’a eu l’auteur avec un
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Chinois : Le concept d’amour » n’existe pas en Chine. Le verbe « aim
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ant la dynastie Han. Les Chinois sont mariés très
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par leurs parents, et le problème de l’amour ne se pose pas. Ils n’on
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égraux (disons à 95 %, comme l’alcool absolu). Le
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Espagnol, avec ses candides yeux de fanatique et son indéniable maîtr
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es seules œuvres écrites ou plastiques. Ainsi, de
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romanciers m’ont fait savoir qu’ils renonçaient à tel ouvrage commenc
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1937 de La Croisade contre le Graal d’Otto Rahn,
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Allemand fasciné par Montségur, où il croit reconnaître le château du
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tout l’amour courtois — j’écris pour une revue de
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une esquisse de l’opposition passion-mariage. Daniel-Rops m’a proposé
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s me supplie de céder mon tour dans la série à un
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lieutenant-colonel qui vient d’écrire la France et son armée, livre t
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rd comment « l’Éternelle Sagesse » devint pour le
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Suso (à la suite d’une extase) « une manière de théophanie substituée
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t duchesse de Bretagne, puis en secondes noces la
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veuve du roi Sanche d’Aragon, Philippa de Toulouse. Les chroniqueurs
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e mettent à l’accompagner, formées de milliers de
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disciples que les chroniques nous décrivent tels des hippies américai
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mier. Le troisième ressemble le plus à ce que les
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Américains baptisent « voyage » : c’est le retour avec Iseut, la scèn