1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 de cette citation d’un dominicain : « Formez des jeunes filles assez fortes pour pouvoir tout lire, et il n’y aura plus besoin de ro
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Cécile-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)
2 C’est le récit de la découverte de Dieu par une jeune fille élevée dans l’athéisme. Invraisemblablement ignorante de toute religi
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
3 ne saurait le taire, — Urbain dormait. L’étoile, jeune fille , roulait gentiment sur ses pointes, tout scintillement pudiquement di
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
4 tes. Mais la musique est si légère, la voix de la jeune fille si transparente : la mort même en devient moins brutale. Elle rôde ic
5 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
5 l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici dans sa vie cette
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
6 it d’une élégante minceur décrit la passion d’une jeune fille de la grande bourgeoisie pour une gamine qui lui sert de modèle dans
7 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
7 en être là, puisqu’en ma voisine, je reconnais la Jeune fille de neige. On la sent prête à fondre de tendresse au premier regard. M
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
8 toute l’existence de Blanche Clifford, sa vie de jeune fille , son mariage avec le prince Roccapalumba, puis avec un jeune lord ; t
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
9 oments. C’est là qu’il retrouve Tsuruko, la belle jeune fille qu’il aimait dans son adolescence. Et l’idylle passionnée se renoue,
10 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
10 tes. Mais la musique est si légère, la voix de la jeune fille si transparente : la mort même en devient moins brutale. Elle rôde ic
11 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
11 … Oh ! qu’il y ait eu cette joie par un regard de jeune fille  ! Tout peut encore être sauvé… Un accord brusque de rumeurs à travers
12 livré à la violence immobile de son âme… Mais les jeunes filles sont parfois trop émouvantes pour qu’on ose les embrasser. — Je tenai
12 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
13 l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici dans sa vie cette
13 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
14 rées d’ombre ? » Et l’on me répondait : « Ici, la jeune fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je croyais voir un éclair blanc
15 de résister. 22 juin 1929 Rencontre avec la jeune fille tzigane. Le dirai-je ici comme un rêve ? ou comme quelque chose de bi
16 airait à longs traits nos visages. Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La lumière délirait doucement,
17 ns la forêt, de chasseur à la redingote verte, de jeunes filles qui jouent du violon dans les champs de myrtille et d’impératrices qu
18 is cette fois c’est une fée qui monte, une grande jeune fille nette aux yeux bleu-vert, au teint de princesse d’Andersen. Oh ! qu’e
19 x ouvrières laides, sans méfiance, — ou bien à la jeune fille , sans fausse honte. Si j’étais vraiment libre, je lui parlerais très
14 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
20 en être là, puisqu’en ma voisine, je reconnais la Jeune fille de neige. On la sent prête à fondre de tendresse au premier regard. M
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
21 … Oh ! qu’il y ait eu cette joie par un regard de jeune fille  ! Tout peut encore être sauvé… Un accord brusque de rumeurs à travers
22 livré à la violence immobile de son âme… Mais les jeunes filles sont parfois trop émouvantes pour qu’on ose les embrasser. — Je tenai
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
23 l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici dans sa vie cette
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
24 rées d’ombre ? » Et l’on me répondait : « Ici, la jeune fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je croyais voir un éclair blanc
25 e résister. 22 juin 1929 Rencontre avec la jeune fille tzigane. Le dirai-je ici comme un rêve ? ou comme quelque chose de bi
26 airait à longs traits nos visages. Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La lumière délirait doucement,
27 ns la forêt, de chasseur à la redingote verte, de jeunes filles qui jouent du violon dans les champs de myrtilles et d’impératrices q
28 is cette fois c’est une fée qui monte, une grande jeune fille nette aux yeux bleu-vert, au teint de princesse d’Andersen. Oh ! qu’e
29 x ouvrières laides, sans méfiance, — ou bien à la jeune fille , sans fausse honte. Si j’étais vraiment libre, je lui parlerais très
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
30 te à midi, quand elle descend dans le cortège des jeunes filles sortant de l’école des Terreaux. Nous, les garçons, tenons notre « co
19 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
31 parler, rire et discuter avec des bourgeois, des jeunes filles , des balayeurs, des intellectuels, le petit peuple. On connaissait sa
20 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
32 amour de la justice ? Ou de s’écrier, comme cette jeune fille  : J’aime Schopenhauer, parce que grand-père l’a connu et aimé ? Phra
33 e saurait rencontrer la justice ; pas plus que la jeune fille n’avait rencontré Schopenhauer. La nature est mauvaise, dit le chris
21 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
34 arme sentimental, à son humour particulier, à ses jeunes filles surtout qui suffiraient à déconcerter toute « étude ». Par exemple, u
22 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
35 rs, de jeunes miliciens du Service de travail, de jeunes filles , de femmes mal vêtues : ils ne disaient presque rien. On se passait u
23 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
36 s monstres, des bourgeois, des paysans, une belle jeune fille de la noblesse, une bohémienne, un jeune pasteur fanatique, une dévot
37 e. Une voiture le dépasse, conduite par une riche jeune fille des environs, mais cela ne compte pas, car il est entendu que la femm
24 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
38 de la fable suédoise : trolls, sorcières, belles jeunes filles courtisées par des héros, épousant des benêts, vieux pasteurs ivrogne
25 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
39 ses études de théologie, et se fiançait avec une jeune fille de 18 ans, Régine Olsen. Tout le monde connaît le drame de ces fiança
40 , riant et discutant avec les bourgeois, avec des jeunes filles , avec des balayeurs, avec le petit peuple qu’il aimait par-dessus tou
26 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
41 aînée a 18 ans. Elle est Führerin d’un groupe de jeunes filles qu’elle doit commander deux fois par semaine : gymnastique et culture
42 st le contraire. Comparez la jeune Führerin à une jeune fille du même âge, chez nous ! Mais l’initiative qu’on exige, c’est celle q
27 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
43 ée a 18 ans. Elle est « Führerin » d’un groupe de jeunes filles qu’elle doit commander deux fois par semaine : gymnastique et culture
44 st le contraire. Comparez la jeune Führerin à une jeune fille du même âge, chez nous ! Mais l’initiative qu’on exige, c’est celle q
45 rs, de jeunes miliciens du Service de travail, de jeunes filles , de femmes pauvrement vêtues : ils ne disent presque rien. On se pass
46 es rangs.) Plus tard, les chants des escouades de jeunes filles s’éloignant vers la ville avec la foule nous rappelleront la nostalgi
28 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
47 ndes épreuves d’initiation, souvenez-vous de la «  jeune fille éblouissante » qui l’accueille par ces paroles : « Je suis toi-même !
29 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
48 es, non. Mais aujourd’hui, les jeunes gens et les jeunes filles se refusent à l’hypocrisie, ne consentent plus à refouler leurs insti
30 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
49 s vient, comme le Minotaure, exiger son tribut de jeunes filles ou de jeunes gens de Cornouailles. Tristan obtient la permission de l
31 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
50 tiques de l’école illuminative de Sohrawardi, une jeune fille éblouissante attend le fidèle à la sortie du pont Chinvat et lui décl
51 es Sept Beautés, qui conte les aventures des sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-chevalier. Nous
32 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VII. L’Amour action, ou de la fidélité
52 ndes épreuves d’initiation, souvenez-vous de la «  jeune fille éblouissante » qui l’accueille par ces paroles : « Je suis toi-même !
33 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
53 s vient, comme le Minotaure, exiger son tribut de jeunes filles ou de jeunes gens de Cornouailles. Tristan obtient la permission de l
34 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
54 stiques de l’école illuminative de Sohrawardi une jeune fille éblouissante attend le fidèle à la sortie du pont Chinvat et lui décl
55 des Sept Beautés, qui conte les aventures de sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-chevalier. Nous
35 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
56 ndes épreuves d’initiation, souvenez-vous de la «  jeune fille éblouissante » qui l’accueille par ces paroles : « Je suis toi-même !
36 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
57 s vient, comme le Minotaure, exiger son tribut de jeunes filles ou de jeunes gens de Cornouailles. Tristan obtient la permission de l
37 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
58 tiques de l’école illuminative de Sohrawardi, une jeune fille éblouissante attend le fidèle à la sortie du pont Chinvat et lui décl
59 des Sept Beautés, qui conte les aventures de sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-chevalier. Nous
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
60 ndes épreuves d’initiation, souvenez-vous de la «  jeune fille éblouissante » qui l’accueille par ces paroles : « Je suis toi-même !
39 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
61 parler, rire et discuter avec des bourgeois, des jeunes filles , des balayeurs, des intellectuels, le petit peuple. On connaissait sa
40 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 4. Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
62 un fonctionnaire du Château tente de séduire une jeune fille , illustre une situation analysée par Kierkegaard dans Crainte et Trem
41 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
63 alles populaires de Broadway, où des centaines de jeunes filles en jupes très courtes se livrent à la danse appelée jitterbugs autour
42 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
64 res. ⁂ Visite à Wellesley College, université de jeunes filles . Elles ne sont pas toutes belles, mais presque toutes ont une démarch
43 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
65 itutrices qui tiennent l’école de l’estancia. Ces jeunes filles nous ont accueillis avec une aimable réserve, un maté et des disques
66 ets volent et tombent dans l’eau noire. C’est une jeune fille aux bras menus qui, du pont, mais en vain, voudrait atteindre un grou
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — III. Une « tasse de thé » au palais c…
67 … Oh ! qu’il y ait eu cette joie par un regard de jeune fille  ! Tout peut encore être sauvé… Un accord brusque de rumeurs à travers
68 livré à la violence immobile de son âme… Mais les jeunes filles sont parfois trop émouvantes pour qu’on ose les embrasser. — Je tenai
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VI. La tour de Hölderlin
69 l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici dans sa vie cette
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
70 rées d’ombre ? » Et l’on me répondait : « Ici, la jeune fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je croyais voir un éclair blanc
71 e résister. 22 juin 1929 Rencontre avec la jeune fille tzigane. Le dirai-je ici comme un rêve ? ou comme quelque chose de bi
72 airait à longs traits nos visages. Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La lumière délirait doucement,
73 s la forêt, de chasseurs à la redingote verte, de jeunes filles qui jouent du violon dans les champs de myrtilles et d’impératrices q
74 is cette fois c’est une fée qui monte, une grande jeune fille nette aux yeux bleu-vert, au teint de princesse d’Andersen. Oh ! qu’e
75 x ouvrières laides, sans méfiance, — ou bien à la jeune fille , sans fausse honte. Si j’étais vraiment libre, je lui parlerais très
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
76 înée a 18 ans. Elle est “Führerin” d’un groupe de jeunes filles qu’elle doit commander deux fois par semaine : gymnastique et culture
77 st le contraire. Comparez la jeune Führerin à une jeune fille du même âge, chez nous ! Mais l’initiative qu’on exige, c’est celle q
78 rs, de jeunes miliciens du Service de Travail, de jeunes filles , de femmes pauvrement vêtues : ils ne disent presque rien. On se pass
79 es rangs.) Plus tard, les chants des escouades de jeunes filles s’éloignant vers la ville avec la foule nous rappelleront la nostalgi
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
80 tres. ⁂ Visite à Wellesley College, université de jeunes filles . Elles ne sont pas toutes belles, mais presque toutes ont une démarch
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
81 itutrices qui tiennent l’école de l’estancia. Ces jeunes filles nous ont accueillis avec une aimable réserve, un maté et des disques
82 ets volent et tombent dans l’eau noire. C’est une jeune fille aux bras menus qui, du pont, mais en vain, voudrait atteindre un grou
50 1947, Articles divers (1946-1948). Préface à Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers (1947)
83 nu Carson McCullers. Elle avait l’air d’une toute jeune fille montée en graine, avec ses petits bas rouges au-dessous des genoux, s
84 mes, de certitudes à embrasser. Comme cette Mick, jeune fille pauvre de 15 ans, qui cherche la musique dans sa petite ville, et rep
51 1947, Articles divers (1946-1948). La jeune littérature des États-Unis devant le roman américain (7 juin 1947)
85 nu Carson McCullers. Elle avait l’air d’une toute jeune fille montée en graine, avec ses petits bas rouges au-dessous des genoux, s
52 1948, Suite neuchâteloise. VII
86 te à midi, quand elle descend dans le cortège des jeunes filles sortant de l’école des Terreaux. Nous les garçons tenons notre « coll
53 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
87 te à midi, quand elle descend dans le cortège des jeunes filles sortant de l’école des Terreaux. Nous, les garçons, tenons notre « co
54 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Un tiers-ordre européen (30 janvier 1950)
88 phrases : Un certain nombre de jeunes gens et de jeunes filles (une dizaine par exemple pour commencer, une centaine si possible au
89 S’il se trouve parmi vous quelques jeunes gens ou jeunes filles qui ont entendu cet appel dans leur cœur, qu’ils m’envoient simplemen
55 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Passer à l’action (6 février 1950)
90 demandait qu’un petit nombre de jeunes gens et de jeunes filles consacrent toute leur vie, pendant deux ans, à la cause de l’Europe u
56 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Les volontaires de Daniel Villey (10 avril 1950)
91 rès disparate. Une cinquantaine de jeunes gens et jeunes filles ont été convoqués pour une première rencontre à Paris le 12 février.
57 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le règne des experts (5 juin 1950)
92 ux voix y ont suffi, deux faibles voix, une toute jeune fille et un vieillard. Mais saurions-nous encore les écouter ? Au revoir, c
58 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
93 lui présentent des œufs, du lait, des fruits. Une jeune fille qui se tient au milieu d’eux, porteuse d’une corbeille fleurie, figur
59 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
94 ide à comprendre Hamlet. Kierkegaard aime Régine, jeune fille de 17 ans, et il en est aimé. Mais il a son secret ambigu, le secret
95 d bientôt que le secret serait trop lourd pour la jeune fille . Naïve et spontanée, elle tenterait simplement, s’il le lui révélait,
96 ne seule issue lui reste ouverte : rompre avec la jeune fille qu’il aime, mais sans lui laisser soupçonner un instant la nature de
97 e l’idée de mon existence fait naufrage sur cette jeune fille , ergo la jeune fille doit disparaître. Sur sa perte passe ma route ve
98 ence fait naufrage sur cette jeune fille, ergo la jeune fille doit disparaître. Sur sa perte passe ma route vers un grand but. » Et
99 let, comme Kierkegaard, se noircir aux yeux de la jeune fille , prétendre qu’il ne l’aime pas, lui tenir les propos les plus cynique
60 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
100 n même temps ces pitoyables visages d’hommes, ces jeunes filles fanées, ces enfants tordus et bouffis. » La bourgeoisie européenne ig
61 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VI. L’expérience de l’espace
101 quand il engendra Isaac, et Sarah était-elle une jeune fille  ? Tu réclames une aide incertaine : réponds, qui t’a affligé tant et
62 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
102 n même temps ces pitoyables visages d’hommes, ces jeunes filles fanées, ces enfants tordus et bouffis. » La bourgeoisie européenne ig
63 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
103 lui présentent des œufs, du lait, des fruits. Une jeune fille qui se tient au milieu d’eux, porteuse d’une corbeille fleurie, figur
64 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
104 ui l’en sépare ? Je me mis à lire plus avant. Une jeune fille , Lara, éveille la nostalgie du docteur Jivago, qu’elle soigne dans un
105 vit misérable et caché. Il épouse sans amour une jeune fille qui s’occupait de son ménage, puis la quitte et meurt dans la foule.
65 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
106 e femme du pays ; elle s’attachait plus fort à la jeune fille , comme à sa fille, représentait qu’elle l’avait mise au jour et que s
107 e ce que l’on voit quand on veille. Longtemps, la jeune fille demeura assise et silencieuse, ayant encore les deux femmes devant se
108 belle Europé. Arrivées dans les prés fleuris, les jeunes filles se divertissaient à chercher chacune telle ou telle sorte de fleur ;
109 e la jalouse Héra et décevoir l’esprit naïf de la jeune fille , il mit un masque au dieu, transforma sa personne, se changea en taur
110 la prairie, et son apparition n’effraya point les jeunes filles  ; toutes furent prises du désir de s’approcher, de toucher le joli an
111 irréprochable Europé ; il lui lécha le cou, et la jeune fille fut sous le charme. Elle le caressait, essuyait doucement de ses main
112 sur le dos du taureau, souriante ; et les autres jeunes filles allaient en faire autant ; mais il se releva d’un bond, enlevant cell
113 la voile d’un navire, et allégeait le poids de la jeune fille . Déjà elle était loin de la terre natale ; il n’y avait en vue ni riv
114 u aux belles cornes lui répondit : « Rassure-toi, jeune fille  ; ne crains pas les vagues de la mer ; je suis Zeus en personne, bien
66 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
115 ité sur la tolérance.   Sur les « mémoires d’une jeune fille rangée ». — L’une des dernières révélations de l’humour américain est
67 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
116 ui l’en sépare ? Je me mis à lire plus avant. Une jeune fille , Lara, éveille la nostalgie du docteur Jivago, qu’elle soigne dans un
117 vit misérable et caché. Il épouse sans amour une jeune fille qui s’occupait de son ménage, puis la quitte et meurt dans la foule.
68 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
118 ide à comprendre Hamlet. Kierkegaard aime Régine, jeune fille de 17 ans et il en est aimé. Mais il a son secret ambigu, le secret d
119 d bientôt que le secret serait trop lourd pour la jeune fille . Naïve et spontanée, elle tenterait simplement, s’il le lui révélait,
120 ne seule issue lui reste ouverte : rompre avec la jeune fille qu’il aime, mais sans lui laisser soupçonner un instant la nature de
121 e l’idée de mon existence fait naufrage sur cette jeune fille , ergo la jeune fille doit disparaître. Sur sa perte passe ma route ve
122 ence fait naufrage sur cette jeune fille, ergo la jeune fille doit disparaître. Sur sa perte passe ma route vers un grand but. » Et
123 let, comme Kierkegaard, se noircir aux yeux de la jeune fille , prétendre qu’il ne l’aime pas, lui tenir les propos les plus cynique
69 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
124 ondition de n’être pas « heureux » : Grâce à une jeune fille , bien des hommes sont devenus des génies, beaucoup des héros, beaucou
125 p des saints — mais pas un ne fut un génie par la jeune fille qu’il posséda, car par elle il ne devint que conseiller d’État ; pas
126 conseiller d’État ; pas un ne fut un héros par la jeune fille qu’il posséda, car par elle il ne devint que général ; pas un ne fut
127 e devint que général ; pas un ne fut poète par la jeune fille qu’il posséda, car par elle il ne devint que père ; et pas un ne fut
128 evint que père ; et pas un ne fut un saint par la jeune fille qu’il posséda, car il n’en posséda aucune, et ne voulut en posséder q
129 rent des génies, des héros, des poètes grâce à la jeune fille qu’ils ne possédèrent pas. Si l’idéalité que la femme porte en elle a
70 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
130 ondition de n’être pas « heureux » : Grâce à une jeune fille , bien des hommes sont devenus des génies, beaucoup des héros, beaucou
131 p des saints — mais pas un ne fut un génie par la jeune fille qu’il posséda, car par elle il ne devint que conseiller d’État ; pas
132 conseiller d’État ; pas un ne fut un héros par la jeune fille qu’il posséda, car par elle il ne devint que général ; pas un ne fut
133 e devint que général ; pas un ne fut poète par la jeune fille qu’il posséda, car par elle il ne devint que père ; et pas un ne fut
134 evint que père ; et pas un ne fut un saint par la jeune fille qu’il posséda, car il n’en posséda aucune, et ne voulut en posséder q
135 rent des génies, des héros, des poètes grâce à la jeune fille qu’ils ne possédèrent pas. Si l’idéalité que la femme porte en elle a
71 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
136 e femme du pays ; elle s’attachait plus fort à la jeune fille , comme à sa fille, représentait qu’elle l’avait mise au jour et que s
137 e ce que l’on voit quand on veille. Longtemps, la jeune fille demeura assise et silencieuse, ayant encore les deux femmes devant se
138 belle Europé. Arrivées dans les prés fleuris, les jeunes filles se divertissaient à chercher chacune telle ou telle sorte de fleur ;
139 e la jalouse Héra et décevoir l’esprit naïf de la jeune fille , il mit un masque au dieu, transforma sa personne, se changea en taur
140 la prairie, et son apparition n’effraya point les jeunes filles  ; toutes furent prises du désir de s’approcher, de toucher le joli an
141 ’irréprochable Europé ; il lui lécha le cou et la jeune fille fut sous le charme. Elle le caressait, essuyait doucement de ses main
142 sur le dos du taureau, souriante ; et les autres jeunes filles allaient en faire autant ; mais il se releva d’un bond, enlevant cell
143 la voile d’un navire, et allégeait le poids de la jeune fille . Déjà elle était loin de la terre natale ; il n’y avait en vue ni riv
144 u aux belles cornes lui répondit : « Rassure-toi, jeune fille  ; ne crains pas les vagues de la mer ; je suis Zeus en personne, bien
72 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 4. Napoléon et l’Europe
145 tre, on la représente souvent sur l’effigie d’une jeune fille sous la forme du cœur, tandis que mainte autre partie de l’Europe n’e
73 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
146 que les chiens rongent dans les rues le crâne des jeunes filles violées, c’est que tout cela est horrible, c’est qu’il suffirait d’un
74 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
147 villages de Nouvelle-Angleterre. Un collège de jeunes filles dans le Vermont Longue avenue sinueuse dans un parc aux prairies n
148 une salle de théâtre, vide de sièges. Groupes de jeunes filles assises sur le parquet, vêtues de collants. Sur la scène, on répète u
149 nt la fenêtre contemplée par le vieux couple. Ces jeunes filles , dont plusieurs sont ravissantes dans leur tenue savamment négligée,
75 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
150 urs des paysans bernois (qui, loin d’exiger d’une jeune fille la preuve de sa virginité, attendaient au contraire, pour l’épouser,
151 dame de Schaffhouse dont le fils avait épousé une jeune fille de la ville de Winterthour, distante d’une vingtaine de kilomètres. E
76 1965, Arts, articles (1952-1965). Le déferlement de l’érotisme : pour une nouvelle théologie (5-11 mai 1965)
152 je n’ai pas reculé devant la discussion avec une jeune fille de tels sujets et en un tel langage. Faut-il me justifier aussi de ce
77 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
153 œurs des paysans bernois (qui loin d’exiger d’une jeune fille la preuve de sa virginité attendaient au contraire, pour l’épouser, l
154 dame de Schaffhouse dont le fils avait épousé une jeune fille de la ville de Winterthour, distante d’une vingtaine de kilomètres. E
78 1966, Articles divers (1963-1969). Un libéral engagé (1966)
155 ’est-ce pas ? Car ils sont… indéfendables ! » Une jeune fille lui demande de définir le bonheur. — « Happiness is just what happens
79 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
156 exigent leur durée, leur chapitre : auprès d’une jeune fille inconnue, dans une maison de campagne à vendre ; à travers un paysage
157 riffer, d’autant mieux charme. Aux jeunes gens et jeunes filles d’aujourd’hui, j’aimerais dire qu’un tel livre transmet quelque chose
80 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
158 ère. (Faute d’un pardon pas encore inventé.) Des jeunes filles en cortège, conduites par un pope noir, sont venues se désaltérer au
81 1969, Articles divers (1963-1969). Le mariage est à réinventer (14 avril 1969)
159 amille, cas plus fréquent qu’on ne pense chez les jeunes filles surtout. Spécifique de la jeunesse, aussi, cette façon de balayer l’e
82 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 10. Passage de la personne à la cité
160 rs, de jeunes miliciens du Service de Travail, de jeunes filles , de femmes pauvrement vêtues : ils ne disent presque rien. On se pass
83 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
161 e année la visite de plus de mille jeunes gens et jeunes filles venus d’un peu partout « pour voir »… Quelques-uns restent et se mett
162 nitiés par une femme ayant fait sa ménopause, les jeunes filles par des « dignitaires mâles ». C’est sur ces privilèges de génération
84 1978, Tapuscrits divers (1980-1985). Le Grandchamp des Bovet (5 juin 1978)
163 t, successivement un hôpital, un établissement de jeunes filles , un établissement de jeunes garçons, et c’est pour donner plus d’air
85 1988, Inédits (extraits de cours). Moyens et fins
164 histoire », et qui donnent au jeune homme ou à la jeune fille l’impression qu’il est « engagé » alors qu’il n’est qu’embrigadé, qu’