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arence des démocraties bavardes, la révolte d’une
jeunesse
vagabonde, plus radicale et plus charmante que les hippies de demain…
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En mars 1932, au lendemain d’une rencontre des
jeunesses
révolutionnaires françaises et allemandes, qui s’était tenue « dans u
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it tout à fait illusoire de donner comme but à la
jeunesse
de s’emparer du pouvoir des États-nations parce qu’elle s’emparerait
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ent le contraire de moi, de ce que je fus dans ma
jeunesse
et suis resté à tant d’égards. Je m’explique par quelques exemples. J
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yndicats et coopératives, aux organisations de la
jeunesse
, aux sociétés culturelles ». Ce qui revient en fait (voir supra, art.
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èse des trois thèmes les plus mobilisateurs de la
jeunesse
et de l’intelligentsia d’avant-garde en Europe… Dans L’Amour et l’Oc
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s et les raisons qui m’ont fait commettre dans ma
jeunesse
… une terrible erreur d’aiguillage. » Une autre fois, plus détendu : «