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hie. Il faut tout de même que nos camarades de la
jeunesse
allemande, qui s’en inquiètent à juste titre, sachent ce que nous pen
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l’Église, le désordre se trouve « établi ». Notre
jeunesse
s’éveille au milieu des statuts de cette confusion. C’est contre eux
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t moins à lui-même qu’à nos ombres, et moins à sa
jeunesse
incomparable qu’au souvenir récent de nos décrépitudes. Si la préface
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e. Le voilà justifié dans sa mauvaise conscience.
Jeunesse
se passe, anarchie se passe, rougeole se passe, — mais rien de grave
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le secret de l’espérance insensée qui possède la
jeunesse
hitlérienne. Leurs épreuves ne seraient-elles pas comme le signe de l
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rice et régulatrice ; vu les revendications de la
jeunesse
qui repousse à l’unanimité un spiritualisme complice d’intérêts deven
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a, est-ce bien le même homme qui écrivait dans sa
jeunesse
: « La science maîtresse, le souverain… ce sera la philosophie, c’est
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se garder d’une certaine facilité sénile, dont la
jeunesse
française n’est pas toujours indemne, facilité qui consiste à assimil
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ni vieillards cramponnés aux commandes, mais une
jeunesse
disciplinée, fanatisée, toute puissante et toute dévouée aux seuls in
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st cette angoisse encore qui explique pourquoi la
jeunesse
bourgeoise hésite à s’engager dans une révolution spirituelle dont el
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.) Trois thèmes : la biographie (milieu, enfance,
jeunesse
, professions exercées de journaliste ou de fonctionnaire) ; une longu
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défendu les thèses que M. Benda attribue à notre
jeunesse
« malheureuse », — M. Benda refusa de répondre. La génération des anc
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ction, carence ou simonie, M. Benda ou Barrès. La
jeunesse
personnaliste, déclara notre ami, repousse l’une et l’autre de ces tr
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la majorité des traits que M. Benda attribue à la
jeunesse
, convient en fait à la génération des « anciens ». À cette erreur tot
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attache ces divers traits au « malheur » de notre
jeunesse
, lequel ne saurait, en bonne logique, expliquer les doctrines d’un Ba
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évolution connut un « déchaînement » sexuel de la
jeunesse
et presque de l’enfance, probablement sans précédent dans notre histo
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plus gravement miné l’éthique matrimoniale de la
jeunesse
. La décadence du mythe de la passion dans la patrie du romantisme ent