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à tous égards enrichissantes — de contact avec la
jeunesse
? Le lendemain matin, j’assiste à une classe de creative writing. Sal
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ême accoutrement si commode et si négligé, que la
jeunesse
européenne semble avoir adopté depuis quinze ans, croyant copier les
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L’Amérique, c’est le vent, la mer, c’est aussi la
jeunesse
curieuse, imprévue, qui assaille l’écrivain de questions sur Marx et
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tion non seulement des esprits créateurs et de la
jeunesse
européenne, mais aussi des hommes d’outre-mer qui viennent chez nous
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? (C’eût été bien mal vu des professeurs dans ma
jeunesse
, ils croyaient dur comme fer à « l’unité », l’unité à tout prix, fût-
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mettent en scène tantôt l’auteur (surtout dans sa
jeunesse
, et jamais sans humour), tantôt des personnages de l’histoire politiq
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e héros d’un passé obsédant, d’une trop plaisante
jeunesse
.7 On devrait bien republier ces deux romans très courts, dont l’éch
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inexistantes. La réponse à la contestation de la
jeunesse
, dans le monde entier, ne relève pas de l’économie, et encore moins d