1 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
1 êts de quelques milliers d’arrivés. Déjà certaine jeunesse française cesse de confondre réalisme et combine ; cesse de croire pa
2 découvrir dans les couloirs de la Chambre. Cette jeunesse ne veut pas de ce genre d’action là. Elle n’a plus le moindre respect
2 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
3 oût à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une misère fiévreuse. Et, cependant, les politiciens de tous
4 uerre, reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec angoisse qu’elle n’avait plus rien ni personne à serv
3 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
5 l’Église, le désordre se trouve « établi ». Notre jeunesse s’éveille au milieu des statuts de cette confusion. C’est contre eux
4 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
6 tasier devant « le magnifique élan qui soulève la jeunesse russe et la porte au-delà d’elle-même », comme si cet élan manifestai
5 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
7 e le prouve l’exemple italien. La dictature de la jeunesse n’est pas non plus le fait du seul fascisme : l’URSS et les USA sont
6 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
8 st-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il semble que la s
9 grandeur, et comblée de risques mortels. Pour la jeunesse de 1932, le conflit de vivre, le paradoxe fondamental de toute « exis
10 a menace et contre-attaquent. Et alors, toute une jeunesse va se dresser ? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le salut
7 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
11 de sacrifices et de police. Nous connaissons une jeunesse d’Europe qui n’a pas attendu pour vivre la permission du marxisme ort
12 ère vision d’un style de vie personnaliste. Cette jeunesse est pauvre par goût de la force et du risque. Elle rit bien. Elle n’a
13 a plus de dureté et plus de chaleur d’âme que la jeunesse bourgeoise d’après-guerre. Elle ne va plus à la recherche du bonheur,
14 Un trait peut-être résume tous les autres : cette jeunesse reste sobre devant la mort, à la mesure de sa violence devant la vie.
8 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
15 ateurs. Devant cette impuissance, que va faire la jeunesse  ? Elle voit bien qu’il faudrait agir. Elle voit aussi qu’il faut d’ab
16 nette, particulièrement propre à leur rallier une jeunesse en révolte contre la bourgeoisie, mais dégoûtée par avance du marxism
17 r les littérateurs. Rien non plus pour flatter la jeunesse , mais la jeunesse qu’ils ont atteinte n’est pas celle qui voulait êtr
18 . Rien non plus pour flatter la jeunesse, mais la jeunesse qu’ils ont atteinte n’est pas celle qui voulait être flattée. Et ce n
19 e politicienne. Plusieurs des mots d’ordre que la jeunesse française fait siens depuis un an ont été lancés par l’ON qui a eu l’
20 . 76. Sur la position du groupe relativement aux jeunesses russes et fascistes, voir R. Dupuis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plo