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les ondes et les avions et l’humeur vagabonde des
jeunesses
en blue-jeans. La décolonisation a produit le tiers-monde, qui a prod
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et toute-puissance des « modes » sociales sur la
jeunesse
. Le respect excessif de l’individu, la crainte de le déformer en le f
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Afrique, mais aux yeux d’une partie de sa propre
jeunesse
, son rôle de porteur du « flambeau de la civilisation ». La Seconde G
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se réalise. Voici ce qu’écrit le quotidien de la
jeunesse
de Pékin, le 27 septembre 1958 : À l’aube, des trompettes sonnèrent
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anique. Il est grand temps de déniaiser toute une
jeunesse
qui parle avec passion de faire la révolution et de « faire l’amour,
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permettre aux revendications fondamentales de la
jeunesse
d’aboutir et de s’incarner. Point de participation civique imaginable
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s États-nations, l’agressivité très normale de la
jeunesse
ne trouve plus à quoi s’accrocher qui réponde et qui atteste quelque
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inexistantes. La réponse à la contestation de la
jeunesse
, dans le monde entier, ne relève pas de l’économie, et encore moins d