1 ntre assez que les facteurs humains ont cessé d’y jouer . Comme on ne peut supprimer ni l’État ni l’argent, le problème que po

2 ns européennes. Il est probable que le Gothard ne jouera plus jamais le rôle unique et décisif qu’il jouait au temps du Saint-

3 ouera plus jamais le rôle unique et décisif qu’il jouait au temps du Saint-Empire. Mais alors l’aspect symbolique de la missio

4 ieux dans l’hitlérisme. La politique, l’économie, jouent leur rôle aussi. Évidemment, il sera toujours possible d’expliquer l’

5 minante que l’occasion et les données de fait ont joué dans cette création (scène de Zurich, chœurs et fanfares disponibles

6 it d’abord choisir la pièce, puis la préparer, la jouer , la promener pour la rejouer je ne sais combien de fois, un peu plus

7 e de l’acteur, signifiera bientôt le « rôle » que joue le citoyen. Dans l’Empire, tout homme n’est pas une persona, il s’en

8 ulation, ne sont pas des personnes, puisqu’ils ne jouent pas de rôle dans les rouages de l’État. Il est important de rappeler

9 la vocation. La persona romaine, c’était le rôle joué par un individu dans le plan de l’État. La personne chrétienne, ce se

10 939)r La Suisse est sans doute le pays où l’on joue le plus de théâtre. Serait-ce que le paysage lui-même invite au jeu,

11 é qu’un grenadier tombé du ciel en parachute pour jouer l’ange protecteur. À l’origine de notre aveuglement, il y a notre inc

12 ique, dont la musique est d’Arthur Honegger, sera jouée en oratorio, c’est-à-dire dans sa partition réduite pour un récitant,

13 Car « l’exception » dans la vie quotidienne doit jouer le même rôle que la minorité dans une vie fédérale saine : elle a dro

14 lomatique européen, la Suisse pourrait et devrait jouer dans notre siècle une partie magnifique. Mais il faudrait que notre g