1 ’Européen veut prendre conscience du drame qui se joue en lui, qui se joue en chaque homme. Mais l’Américain ?… L’Américain

2 re conscience du drame qui se joue en lui, qui se joue en chaque homme. Mais l’Américain ?… L’Américain, lui, c’est ce qui

3 e, rose des vents de l’esprit, continuera ainsi à jouer son rôle de cité internationale, à condition, bien entendu, que l’esp

4 ard des efforts de l’avant-garde, d’autant qu’ils jouent , aux yeux de beaucoup et des meilleurs de nos contemporains, le rôle

5 nt de Beethoven, accompagne parfois Einstein, qui joue du violon. Je me rappelle l’anecdote qui circule ici. Schnabel s’inte

6 uisse. J’y allais aussi dans l’intention de faire jouer mon oratorio Nicolas de Flue , dont Honegger a écrit la musique. Sur

7 e, de l’autre on la fait respecter. Pendant qu’on jouait à Moscou, ce printemps, une pièce violente de Simonov, où l’on voit u

8 « Il n’y a qu’une réponse possible. Je vais faire jouer cette pièce ici, ce sera le succès de fou rire de la rentrée. » ⁂ Qua

9 hère. On écrivait, on composait, on sculptait, on jouait du piano dans toutes les chambres aux portes entrouvertes, et l’on se

10 r effort est donc de les équilibrer, de les faire jouer sans à-coup ; et le produit de cet équilibre sera le bonheur inévitab

11 u, statuette à quatre sous, caillou noir, carte à jouer perdue sur laquelle on met le pied par hasard. Mais nous touchons ici

12 poétiques : ni plus ni moins. L’un et l’autre en joue , et s’en jouent. s. « Notes sur la voie clandestine », Cahiers de l

13 i plus ni moins. L’un et l’autre en joue, et s’en jouent . s. « Notes sur la voie clandestine », Cahiers de la Pléiade, Paris