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es. Lumière orangée, tamisée ; un piano dissimulé
joue
très doucement. Nous sommes assis autour d’une petite table lumineuse
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kloriste aux yeux ardents et au visage mongol. Il
jouait
des phrases simples, tragiques, à peine modulées, qui donnent le vert
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ne fut l’attente, et lâche tout. C’est l’âme qui
joue
aux montagnes russes, mais voici que le petit train en rumeur depuis
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onniers. À quatre heures, l’orchestre s’est mis à
jouer
des ringues charmantes, jazz et clarinette, chansons de mai. Les bate
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rieure de deuil ; par contre je voudrais que l’on
joue
sur ma tombe : Schon die Abendglocken klangen et ensuite : Heil’ge Na
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pe a des feux stellaires, couleur d’Aldébaran. On
joue
Rose de Tannenbourg, drame en 15 tableaux, un prologue et une conclus
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les entractes, une fanfare de paysans bleu de roi
joue
sur un rythme impeccable, avec toujours les mêmes notes fêlées et l’a
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asseur à la redingote verte, de jeunes filles qui
jouent
du violon dans les champs de myrtille et d’impératrices qui prient da
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ourgeoise. Ici le risque et la violence physiques
jouent
dans la vie de chaque jour leur rôle naturel et tonique. On lâche les
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ser des étalons en liberté, et les monter à poil.
Jouer
à football avec les hérissons du parc. Capturer des canards sauvages