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r effort est donc de les équilibrer, de les faire
jouer
sans à-coup ; et le produit de cet équilibre sera le bonheur inévitab
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de l’homme universels. Sur cette union, l’Europe
joue
son destin, et chacun de nous, et le monde avec elle. Menacée, déchir
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le congrès, que l’inconsistance « unioniste » ne
jouerait
à La Haye que le rôle d’un frein, par rapport au fédéralisme cohérent
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it juste, mais le réflexe qu’ils en conservent ne
joue
pas dans le sens de l’action créatrice à laquelle le congrès devait d
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nion de notre continent. Sur cette union l’Europe
joue
son destin et celui de la paix du monde. Soit donc notoire à tous que