1 s et peintres de vingt siècles occidentaux feront jouer leur imagination sensuelle du Mythe, et cela va du métope de Sélinont

2 ses, l’admirable récit de Salamine qu’Eschyle fit jouer sept ans après la bataille, en 473. Il s’agit, là aussi, de la rivali

3 uvait-il entendre par Europe ? Dans son Prométhée joué en 472, Eschyle fait dire à l’un de ses héros décrivant un voyage qui

4 suisses. Le devoir d’alliance des huit souverains joue également pour Venise et le royaume de Sicile. Enfin, le plan Sully p

5 ur le Colisée ? Les savetiers et les bouffons qui jouent leur rôle dans vos tragédies sont-ils supérieurs aux héros de Sophocl

6 re, trop éclairé sur leurs propres droits pour se jouer de ceux des autres peuples, respecteront cette indépendance, qu’ils o

7 , prend une conscience nouvelle du rôle qu’elle a joué dans le monde et pour l’humanité entière. Il écrit, dans une lettre à

8 a puissamment contribué.169 Le rôle historique joué par Mme de Staël a bien moins consisté dans son opposition impuissant

9 s masses, qui la détruit. Tandis que la technique jouera de plus en plus dans le sens de l’union : L’Europe — dit Goethe — ét

10 c elle, que de reculer de plusieurs siècles et de jouer , au-delà des mers, le rôle d’Orphée et de Lycurgue. Partout, se disai

11 icitaient qu’elle se laissât briser plutôt que de jouer avec les couleurs et c’est ainsi qu’ils nommèrent d’après elle ce qui

12 u rôle privilégié et redoutable que l’Europe doit jouer pour toute l’humanité, avec laquelle, d’ailleurs, elle finira par se

13 x, l’Italie (« cet Orient de l’Occident ») devait jouer pour l’Europe le rôle de nation-guide, sous la haute direction du pap

14 u nom de leurs intérêts les États refuseraient de jouer le beau jeu de la dialectique idéaliste. D’où le besoin d’une souvera

15 é et la peur des puissances de l’Ouest, la Russie joue les spadassins et accroît ses exigences à la limite du possible, afin

16 ’instant. Les misérables Européens ont mieux aimé jouer aux Armagnacs et aux Bourguignons que de prendre sur la terre le gran

17 de la liberté et de l’esprit » : La fatalité qui joue contre les démocraties modernes, c’est celle de la fausse philosophie

18 et déclare que les Européens n’ont plus de rôle à jouer dans l’histoire universelle. Qu’en résulte-t-il ? L’Europe avait créé

19 orté. En revanche, on connaît aujourd’hui le rôle joué dans ce domaine, dès la fin du xviiie siècle, par les sectes piétist

20 ’Europe. Avec une inconcevable légèreté, l’Europe joue ses destinées, avec un inconcevable aveuglement elle refuse de voir c

21 nion de notre continent. Sur cette union l’Europe joue son destin et celui de la paix du monde. Soit donc notoire à tous que