1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
1 aisaient paraître les petits faits de nos longues journées . Nous aimions la révolution comme on aime l’amour. Nous n’aimions pas
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 mme son frère Charles Barraud, qui lui, passe ses journées à vendre des couleurs, à encadrer des glaces. Et plaise aux dieux que
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
3 domadaires, et une semonce à nous gâter toute une journée . Une journée d’enfance gâtée. Et d’ailleurs, multiplier le tapissier
4 t une semonce à nous gâter toute une journée. Une journée d’enfance gâtée. Et d’ailleurs, multiplier le tapissier par le prix d
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
5 point accordés à l’actuelle division horaire des journées … Monsieur, répondent les fonctionnaires responsables, vous savez par
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
6 domadaires, et une semonce à nous gâter toute une journée . Une journée d’enfant gâtée. Et d’ailleurs, multiplier le tapissier p
7 t une semonce à nous gâter toute une journée. Une journée d’enfant gâtée. Et d’ailleurs, multiplier le tapissier par le prix du
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
8 point accordés à l’actuelle division horaire des journées … Monsieur, répondent les fonctionnaires responsables, vous savez par
7 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
9 avons les mêmes histoires et nous avons durant la journée bouquiné dans les mêmes boîtes sous les arcades. (Nous ne touchons l’
8 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
10 a guerre et la mortalité. Caille s’avance dans la journée , et l’angoisse autour de lui grandit. De partout l’orage s’amasse. Ve
9 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
11 ession concrète. Le petit chien Botte raconte ses journées , « des choses et des choses comme des rats qui courent ». — « On est
10 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
12 qui attrape la fièvre dans mon corps. Toute cette journée baignée de l’air des collines, il semble que mon sang ce soir la comp
13 u’il pense : maintenant que nous avons clos cette journée par une récréation bien méritée), nous voulons aller dormir. Ainsi, d
14 rait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la servante au corridor.) Début de juill
15 dans la puissante circonspection de l’attente ? Ô journées souabes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des arbres désirable
11 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
16 r « burgrave et comte » de la Prusse-Orientale. Journées À huit heures, tout le monde se réunit en silence dans la grande s
17 Qui peut en calculer le bienfait d’énergie ? Les journées , même de vacances, baignent ici dans une atmosphère goethéenne d’util
18 tement qui donnent sa raison d’être au labeur des journées . Nous voici délivrés de la grande bourgeoisie, de ces gens qui croien
12 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
19 avons les mêmes histoires et nous avons durant la journée bouquiné dans les mêmes boîtes sous les arcades. La plupart des nocta
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
20 r « burgrave et comte » de la Prusse-Orientale. Journées À huit heures, tout le monde se réunit en silence dans la grande s
21 Qui peut en calculer le bienfait d’énergie ? Les journées , même de vacances, baignent ici dans une atmosphère goethéenne d’util
22 tement qui donnent sa raison d’être au labeur des journées . Nous voici délivrés de la grande bourgeoisie, de ces gens qui croien
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
23 qui attrape la fièvre dans mon corps. Toute cette journée baignée de l’air des collines, il semble que mon sang ce soir la comp
24 u’il pense : maintenant que nous avons clos cette journée par une récréation bien méritée), nous voulons aller dormir. Ainsi, d
25 rait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la servante au corridor.) 30 juin 1929
26 dans la puissante circonspection de l’attente ? Ô journées souabes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des arbres désirable
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
27 it chanson fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta force devient visible, c’est comme
28 umée, c’est un paquebot qui en est à la troisième journée du trajet que nous ferons à rebours en trois heures. Nous sommes part
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
29 terre du père, celle qu’on peut parcourir en une journée et chaque jour de la vie sans se lasser, celle qu’un regard embrasse
17 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
30 e : poème (1933)d N’attendons plus, dans cette journée violente et trop vaste, la venue des bien-aimées clairières entre deu
18 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
31 existence quotidienne. Mais l’homme qui toute la journée a senti peser sur son œuvre la menace des forces terribles déchaînées
19 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
32 ne totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journées , c’est pour mieux dominer ses moyens. Selon sa loi. Mais le moderne d
33 d’isolement et d’impuissance. La division de nos journées en 8 heures de travail et 8 heures de loisir est une dérision brutale
20 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
34 andonné qui se croit je. Ce rêve peut remplir nos journées  : il n’est pas notre vie. Il n’est qu’un abandon aux lois de la pouss
21 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
35 nir que la réalité c’est le terne train-train des journées . Ils avaient en somme raison, tout au moins pour leur compte, ajouter
22 1934, Politique de la personne. Appendice — 2. Loisir ou temps vide ?
36 ne totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journées , c’est pour mieux dominer ses moyens. Selon sa loi. Mais le moderne d
37 d’isolement et d’impuissance. La division de nos journées en 8 heures de travail et 8 heures de loisir est une dérision brutale
23 1934, Politique de la personne. Appendice — 4. Ni droite ni gauche
38 sur le régime du blé, sur les magnaneries, sur la journée de huit heures, etc.) qui vient en discussion dans l’hémicycle se tro
24 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 2. Loisir ou temps vide ?
39 ne totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journées , c’est pour mieux dominer ses moyens. Selon sa loi. Mais le moderne d
40 d’isolement et d’impuissance. La division de nos journées en 8 heures de travail et 8 heures de loisir est une dérision brutale
25 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
41 dant la durée de l’Exposition, le centre de ces «  journées  », de ces « semaines » consacrées aux héros, c’est-à-dire aux maîtres
26 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
42 u pittoresque. Mais où trouver la description des journées , des occupations, des manières de réagir d’un homme réel aux prises a
43 alors, entre cent autres, cette description d’une journée de Lawrence dans son ranch mexicain (c’est à Lawrence que Brett dit «
44 be sous la main et vous lavez des choses toute la journée . À cinq heures nous allons chercher les chevaux qui se cachent tout a
27 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
45 a guerre et la mortalité. Caille s’avance dans la journée , et l’angoisse grandit autour de lui. De partout l’orage s’amasse. Ve
28 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
46 estiques, des manœuvres, des hommes et femmes “de journée ”, et j’allais dire : des pauvres. Il n’y a plus de classes en URSS, c
29 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
47 ble : c’est bien d’ici qu’il faut partir ! Chaque journée verra désormais le départ — tout au moins — d’une nouvelle expédition
30 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
48 ille d’un mineur retraité, dont la femme fait des journées . Considérant que richesse oblige — car je gagne à peu près 1.000 fran
49 novembre 1934 Minuit. J’ai terminé la tâche de la journée . Ma femme dort, dans la chambre dont je vois la porte entrebâillée. U
31 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
50 téroclites : congrès d’étudiants, cours ruraux, «  journées sociales », amateurs de littérature, philosophes, paysans, cercles d’
32 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
51 timidité, ou aussi leur fatigue après une longue journée de travail. Mais beaucoup ne font plus rien en hiver ? Ils sont venus
52 r trois semaines chez lui. Il habite à une petite journée de voyage de notre île. La leçon pratique de cette première expérienc
53 as la bonne conscience de l’employé qui a fait sa journée et qui pense maintenant à autre chose. Une sorte d’impatience me tara
54 nds comme ma chambre doit passer une partie de la journée à marcher de l’un à l’autre. Disposition encore plus gênante au momen
55 e ? 19 février 1934 Les gens : récit d’une journée paysanne. — En revenant de la côte, je me suis arrêté au Moulin de la
56 me un type de jeune Français. Je retiens de cette journée deux impressions (je n’ose pas en dire davantage : tout cela est enco
33 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
57 ille d’un mineur retraité, dont la femme fait des journées . Considérant que richesse oblige — car je gagne à peu près 1000 franc
58 embre 1934 Minuit. J’ai terminé la tâche de la journée . Ma femme dort, dans la chambre dont je vois la porte entrebâillée. U
59 téroclites : congrès d’étudiants, cours ruraux, «  journées sociales », amateurs de littérature, philosophes, paysans, cercles d’
34 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
60 timidité, ou aussi leur fatigue après une longue journée de travail. Mais beaucoup ne font plus rien en hiver ? Ils sont venus
61 ds comme ma chambre, doit passer une partie de la journée à marcher de l’un à l’autre. Disposition encore plus gênante au momen
62 un type de jeune Français. » Je retiens de cette journée deux impressions (je n’ose pas en dire davantage : tout cela est enco
35 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
63 as la bonne conscience de l’employé qui a fait sa journée et qui pense maintenant à autre chose. Une sorte d’impatience me tara
36 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
64 r trois semaines chez lui. Il habite à une petite journée de voyage de notre île. La leçon pratique de cette première expérienc
37 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
65 ou d’une bestiole à son travail, sentiment de la journée vide, du temps qui a pris le rythme des vies simples. Et la nuit retr
38 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
66 cette victoire à Waterloo ? Parce qu’au cours des journées qui précèdent la bataille, Napoléon a découvert la vie concrète d’un
39 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
67 inoubliable, inséparable — avec celui d’une belle journée de son pays ? b. Rougemont Denis de, « Souvenir d’Esztergom », Nou
40 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
68 lon de plus qu’on est certain d’en vendre dans la journée . Quand rien ne se perd, quand il n’y a plus d’excès possible, c’en es
41 1938, Journal d’Allemagne. Appendice i. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
69 ption du monde… Le Führer en effet a déclaré à la journée du Parti de 1935 : « Le national-socialisme est une conception du mon
42 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
70 d j’ai envoyé à des amis de France le récit de la journée où j’ai vu Hitler en communion avec son peuple, je n’ai ajouté que ce
43 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
71 élébra le réarmement du Reich, se soit intitulé : Journée de la liberté. Précisons : l’armement pour les Allemands n’est pas co
44 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
72 e ténacité telle qu’il m’enlace et me torture des journées et des nuits entières. Et ces moments-là, pour moi, ne ressemblent pl
45 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
73 bras.) Nicolas. —  Jean, donne les tâches de la journée . Jean (très vite). —  Rudi les cochons ! Walther les vaches ; Hein
46 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
74 le frère Claus. Ils font rien que prier toute la journée . 2e valet. —  Ça lui donne toujours moins à faire qu’à la Dorothée
75 rich. —  Ô frère Claus, quel signe heureux sur la journée nouvelle ! N’est-ce pas un ange qui t’a visité ? Nicolas. —  Un si
76 eu nous envoie tel message, cela veut dire que la journée s’annonce dure. Récitatif. (Chœur à bouche fermée.) Ô sentinelle,
47 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
77 tuniques mouillées, paperasses. Revanche sur des journées de discipline et de paquetages alignés au cordeau. Partirons-nous au
48 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
78 te de Stans, c’est-à-dire sur le récit même de la journée que nous venions de vivre ! C’était la même menace, la même attente a
79 sme devait trouver son couronnement lors des deux journées neuchâteloises de l’Exposition de Zurich. Mais le mois de septembre 1
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
80 e ténacité telle qu’il m’enlace et me torture des journées et des nuits entières. Et ces moments-là, pour moi, ne ressemblent pl
50 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
81 e ténacité telle qu’il m’enlace et me torture des journées et des nuits entières. Et ces moments-là, pour moi, ne ressemblent pl
51 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
82 es. » Si sincère qu’on se veuille en relatant ses journées , comment ne serait-on pas tenté de dire surtout ce qui a frappé, ce q
52 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
83 il 1939 Une nuit blanche dans un train bondé. Une journée de reprise à Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un débat,
53 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
84 Nicolas de Flue , l’œuvre qu’il écrivit pour les journées neuchâteloises de l’Exposition nationale de Zurich et qui ne put être
54 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Passion et origine de l’hitlérisme (janvier 1941)
85 tre de l’homme. […] Le matin et encore pendant la journée , les forces de la volonté des hommes s’opposent avec la plus grande é
55 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
86 passaient en rubans lumineux les résultats de la journée . À neuf heures, Willkie semblait mener. On vendait à la criée les der
56 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
87 t chanson fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta force devient visible, c’est comme
57 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 6. Le Journal d’André Gide
88 es. » Si sincère qu’on se veuille en relatant ses journées , comment ne serait-on pas tenté de dire surtout ce qui a frappé, ce q
58 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
89 a guerre et la mortalité. Caille s’avance dans la journée , et l’angoisse grandit autour de lui. De partout l’orage s’amasse. Ve
59 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
90 e à ces évidences. On nous ressasse à longueur de journée qu’elle « n’est pas prête pour un gouvernement mondial ». Est-ce qu’o
60 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
91 umée, c’est un paquebot qui en est à la troisième journée du trajet que nous ferons à rebours en quatre heures. Nous sommes par
61 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
92 cielles mais sans tristesse. Ce fut une glorieuse journée , comme disent les Anglo-Saxons, pensant au temps qu’il fait, tout sim
62 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
93 que à l’éternelle sommation, somme absolue de ses journées et de ses nuits, de ses pensées et de ses gestes, de son savoir, de s
63 1946, Lettres sur la bombe atomique. VII. Tout est changé, personne ne bouge
94 ’être sérieux. Voulez-vous que je pleure toute la journée , que je rugisse pendant la nuit, et que je dévore les tapis ? Voulez-
64 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVIII. La paix ou la mort
95 e à ces évidences. On nous ressasse à longueur de journée qu’elle « n’est pas prête pour un gouvernement mondial ». Est-ce qu’o
65 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
96 e à ces évidences. On nous ressasse à longueur de journée qu’elle « n’est pas prête pour un gouvernement mondial ». Est-ce qu’o
66 1946, Lettres sur la bombe atomique. VII . Tout est changé, personne ne bouge
97 ’être sérieux. Voulez-vous que je pleure toute la journée , que je rugisse pendant la nuit, et que je dévore les tapis ? Voulez-
67 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVIII . La paix ou la mort
98 e à ces évidences. On nous ressasse à longueur de journée qu’elle « n’est pas prête pour un gouvernement mondial ». Est-ce qu’o
68 1946, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe (écrit en Amérique, en 1943) (août-septembre 1946)
99 t chanson fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta force devient visible, c’est comme
69 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
100 ns un train bondé dès le départ de Marseille. Une journée de rentrée à Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un débat a
70 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
101 tuniques mouillées, paperasses. Revanche sur des journées de discipline et de paquetages alignés au cordeau qu’il faut inspecte
102 ces notes de voyage, ayant fini le travail de la journée  — me décourage un peu, ce soir. C’est le contraire de ce qui fonde no
103 misère avec de l’avancement et des uniformes, des journées commencées et terminées par un roulement de tambour, voilà ce qui doi
71 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
104 u’il m’importe de connaître de visu. Première journée À six heures du matin, rue du Mont-Blanc, à Genève : l’embarquemen
105 t plus distinguer de responsabilités… Deuxième journée Aube sur Sète et son cimetière marin, célébré par le plus beau poè
106 e et s’est éloigné. Partirons-nous ? Troisième journée Barcelone sans taxis, les Ramblas presque déserts, et, dans le por
107 eurs forcés de passer par leur pays. Quatrième journée Madrid, quarante degrés à l’ombre ; et le Prado, seul refuge, est
108 par les soins de l’armée allemande. Cinquième journée Départ de Madrid hier soir dans un train archiplein — beaucoup de
72 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
109 tes surprises de l’exil. Fin juin 1942 Une journée à l’OWI. — André Breton, superbement courtois, patient comme un lion
110 ce, en marge du temps de la guerre, j’ai vécu des journées soustraites au Destin. La mer est grise, le soir vient, les oiseaux s
73 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
111 York, 31 janvier 1943 Les deux décades. — La journée d’hier marquait un double anniversaire : dix ans d’Hitler et dix ans
74 1946, Journal des deux mondes. Intermède. Mémoire de l’Europe
112 it chanson fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta force devient visible, c’est comme
75 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
113 umée, c’est un paquebot qui en est à la troisième journée du trajet que nous ferons à rebours en trois heures. Nous sommes par
114 cielles mais sans tristesse. Ce fut une glorieuse journée , comme disent les Anglo-Saxons, pensant au temps qu’il fait, tout sim
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — II. Châteaux en Prusse
115 r « burgrave et comte » de la Prusse-Orientale. Journées À huit heures, tout le monde se réunit en silence dans la grande s
116 Qui peut en calculer le bienfait d’énergie ? Les journées , même de vacances, baignent ici dans une atmosphère goethéenne d’util
117 tement qui donnent sa raison d’être au labeur des journées . Nous voici délivrés de la grande bourgeoisie, de ces gens qui croien
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
118 qui attrape la fièvre dans mon corps. Toute cette journée baignée de l’air des collines, il semble que mon sang ce soir la comp
119 u’il pense : maintenant que nous avons clos cette journée par une récréation bien méritée), nous voulons aller dormir. Ainsi, d
120 rait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la servante au corridor.) 30 juin 1929
121 dans la puissante circonspection de l’attente ? Ô journées souabes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des arbres désirable
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
122 à la gare locale, à travers des terrains vagues : journées asservies à l’horaire, minutage des travaux, rendez-vous aussi diffic
123 avait échappé de justesse au poteau, pendant les journées d’Octobre. (Pris dans une rafle, des tracts plein les poches, on le p
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
124 timidité, ou aussi leur fatigue après une longue journée de travail. Mais beaucoup ne font plus rien en hiver ? Ils sont venus
125 r trois semaines chez lui. Il habite à une petite journée de voyage de notre île. La leçon pratique de cette première expérienc
126 as la bonne conscience de l’employé qui a fait sa journée et qui pense maintenant à autre chose. Une sorte d’impatience me tara
127 nds comme ma chambre doit passer une partie de la journée à marcher de l’un à l’autre. Disposition encore plus gênante au momen
128 e ? 19 février 1934 Les gens : récit d’une journée paysanne. — En revenant de la côte, je me suis arrêté au Moulin de la
129 me un type de jeune Français. Je retiens de cette journée deux impressions (je n’ose pas en dire davantage : tout cela est enco
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
130 ille d’un mineur retraité, dont la femme fait des journées . Considérant que richesse oblige — car je gagne à peu près 1000 franc
131 embre 1934 Minuit. J’ai terminé la tâche de la journée . Ma femme dort, dans la chambre dont je vois la porte entrebâillée. U
132 téroclites : congrès d’étudiants, cours ruraux, «  journées sociales », amateurs de littérature, philosophes, paysans, cercles d’
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
133 lon de plus qu’on est certain d’en vendre dans la journée . Quand rien ne se perd, quand il n’y a plus d’excès possible, c’en es
134 ption du monde… Le Führer a en effet déclaré à la journée du parti de 1935 : “Le national-socialisme est une conception du ‘mon
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — III. Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
135 de me dégager de l’atmosphère trop émotive de ces journées , peu favorable à un jugement dont on n’eût pas à rougir tôt après, je
136 élébra le réarmement du Reich, se soit intitulé : Journée de la Liberté. Précisons : l’armement pour les Allemands n’est pas co
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
137 l’angoisse, la tension, et l’émotion finale de la journée que nous venons de vivre, mais tout cela transposé dans les termes d’
138 eux. Je me plaignais seulement de la brièveté des journées et des nuits. Je ne demandais qu’à tenir sans fin ce rythme d’écritur
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
139 ns un train bondé dès le départ de Marseille. Une journée de rentrée à Paris. Et ce soir, me voici [venu] assister à un débat a
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
140 tuniques mouillées, paperasses. Revanche sur des journées de discipline et de paquetages alignés au cordeau qu’il faut inspecte
141 ces notes de voyage, ayant fini le travail de la journée  — me décourage un peu, ce soir. C’est le contraire de ce qui fonde no
142 misère avec de l’avancement et des uniformes, des journées commencées et terminées par un roulement de tambour, voilà ce qui doi
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
143 qu’il m’importe de connaître de visu. Première journée À six heures du matin, rue du Mont-Blanc, à Genève l’embarquement
144 t plus distinguer de responsabilités. Deuxième journée Aube sur Sète et son cimetière marin. Entre les pins palpite, ent
145 e et s’est éloigné. Partirons-nous ? Troisième journée Barcelone sans taxis, les Ramblas presque déserts, et, dans le por
146 eurs forcés de passer par leur pays. Quatrième journée Madrid, quarante degrés à l’ombre ; et le Prado, seul refuge, est
147 par les soins de l’armée allemande. Cinquième journée Départ de Madrid hier soir dans un train archiplein — beaucoup de
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
148 tes surprises de l’exil. Fin juin 1942 Une journée à l’OWI. — André Breton, superbement courtois, patient comme un lion
149 ce, en marge du temps de la guerre, j’ai vécu des journées soustraites au Destin. La mer est grise, le soir vient, les oiseaux s
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
150 York, 31 janvier 1943 Les deux décades. — La journée d’hier marquait un double anniversaire : dix ans d’Hitler et dix ans
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède : mémoire de l’Europe
151 it chanson fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autres… (Quand ta force devient visible, c’est comme
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
152 cela demain… Ces deux types vont rester ici. Leur journée est sur ce trottoir, leurs soucis vivent en Amérique. Je pourrais res
153 umée, c’est un paquebot qui en est à la troisième journée du trajet que nous ferons à rebours en trois heures. Nous sommes part
154 cielles mais sans tristesse. Ce fut une glorieuse journée , comme disent les Anglo-Saxons, pensant au temps qu’il fait, tout sim
91 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
155 s son club ou parmi les copains du bar voisin. La journée d’un couple bourgeois, dans une grande ville américaine, ménage peu d
92 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
156 s petites surprises de l’exil. Fin juin 1942 Une journée à l’OWI.— André Breton, superbement courtois, patient comme un lion b
157 ce, en marge du temps de la guerre, j’ai vécu des journées soustraites au Destin. La mer est grise, le soir vient, les oiseaux s
93 1947, Vivre en Amérique. I. Vie politique
158 l passaient en ruban lumineux les résultats de la journée . À 9 heures, Willkie semblait mener. On vendait à la criée les dernie
94 1947, Vivre en Amérique. III. Vie privée
159 s son club ou parmi les copains du bar voisin. La journée d’un couple bourgeois, dans une grande ville américaine, ménage peu d
95 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
160 2.Comment ils élèvent leurs enfants, ou non La journée d’école s’ouvre par une cérémonie patriotique et religieuse. Un des e
161 et selon les directeurs d’école.) Le reste de la journée n’est guère fatigant, et les devoirs à domicile s’expédient en moins
96 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
162 que à l’éternelle sommation, somme absolue de ses journées et de ses nuits, de ses pensées et de ses gestes, de son savoir, de s
97 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
163 séquestré pendant des mois, ni vin, ni femmes, ni journées de paresse ou de promenade à l’aventure. Vie à l’horaire, chronométré
98 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
164 en 1946 qu’à l’époque de Christophe Colomb : une journée de vol plus trois mois de démarches afin d’obtenir les visas, devises
99 1948, Suite neuchâteloise. V
165 terre du père, celle qu’on peut parcourir en une journée et chaque jour de la vie sans se lasser, celle qu’un regard embrasse
100 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Un bel été (19 septembre 1949)
166 acte ou les nouvelles… D’autres sont seuls, et la journée finie, ne sachant trop quoi faire, ils tournent un bouton, et ils ent