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que de la personne , Penser avec les mains , le
Journal
d’un intellectuel en chômage , et les autres écrits de Rougemont en s
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n’est plus question de reculer. En publiant mon
Journal
, je suis entré dans la voie des aveux. J’ai même confessé certaines
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uronner sans le savoir deux livres à la fois, le
Journal
et l’ Amour . Et peut-être ainsi mon travail, tout au moins par sa q
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s qui reviennent avec quelque insistance dans le
Journal
, c’est celui que je nommais le « problème des gens ». Problème des r
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ns, vous êtes le vrai public d’un livre comme le
Journal
, celui qu’il cherche et qu’il espère rejoindre avant tout autre. Et
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Pariser Neuburger comme disent, avec effroi, les
journaux
suisses allemands ! Certain « curieux » hebdomadaire romand crut devo
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i il a attendu ce temps pour le publier. C’est un
journal
où j’ai noté pour moi-même mes impressions sur ce que je voyais et su
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out invite à un entretien parfait. Tout, jusqu’au
Journal
d’André Gide, un fort volume de treize cents pages qui vient de paraî
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iers livres, tous liés à l’actualité. Je songe au
Journal
d’un intellectuel en chômage, et surtout au Journal d’Allemagne qui f
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urnal d’un intellectuel en chômage, et surtout au
Journal
d’Allemagne qui fut accueilli avec une telle faveur par tous ceux qui
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été prêté par un de ses confrères en matière de «
journal
». La NRF continue d’étendre sa présence autour de Denis de Rougemont
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démodées) (avril 1940)aa Ceux qui tiennent un
journal
intime sont d’ordinaire des êtres qui se cherchent, ou qui, pour mieu
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ommence ici, pour la première fois, une espèce de
journal
d’attente, — comme on parle d’une salle d’attente. Entre deux trains,
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, je suis tenté de prendre le contre-pied de mon
Journal
d’un intellectuel en chômage , et d’insister désormais davantage sur
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aines distances, — celles-là mêmes que, dans mon
Journal
, je me félicitais d’avoir vu s’abolir… 16 avril 1939 Question. Dans
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r des dictateurs, je mets ici un point final à ce
journal
de petite attente. Il faut juger notre vie par sa Fin, pour mesurer l
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Il est dit : si tu crois, tu vivras. aa. « D’un
journal
d’attente (pages démodées) », Formes et Couleurs, Lausanne, n° 1, avr
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nt l’hiver 1939-1940, nous avons pu lire dans les
journaux
cet avertissement sibyllin : « Température maximum : 18°. » Il s’agis