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ques et cinématographiques remarquables. Tous les
journaux
en ont abondamment parlé, ce qui nous dispense d’y revenir en détail.
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Cinquième colonne. — Quelques fragments de mon
Journal
d’Allemagne ayant paru dans une revue de New York, Upton Sinclair du
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de peu. — Je me souviens de ce sous-titre de mon
Journal
d’un intellectuel en chômage . Je disais simplement : « Gagner peu ».
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diennes, je n’ai pu guère écrire que ces notes de
journal
, et deux essais pour des revues américaines. Mais ces essais-là m’ont
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urs à quatorze, puis à cinq ! Il y parvint. i. «
Journal
d’un intellectuel en exil », Fontaine, Alger, n° 58, mars 1947, p. 89
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haque matin dans l’excitante confusion d’un grand
journal
américain : la juxtaposition des faits, des lieux, des plans et des v
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celle qu’un rien enraye : un écrivain comique, un
journal
libre, une phrase dans le discours de quelque Américain, un diplomate
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u diable et m’en vais sortir très prochainement
Journal
des deux mondes , dont la Guilde du Livre a déjà donné une édition. À
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andues. En écoutant parler mardi soir l’auteur du
Journal
d’un intellectuel en chômage, nous nous étions demandé à la suite de
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nd de ses mains tremblantes une petite coupure de
journal
: son mari, le lieutenant McCullers, est signalé comme le premier Amé
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ula même un de ses livres les plus remarquables :
Journal
d’un intellectuel en chômage. Mais, au centre de ses préoccupations,
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Il leur a consacré de nombreux articles dans des
journaux
et des revues de France et de Suisse — articles qu’il a d’ailleurs ra
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de Claudel et de Ramuz. Ensuite, il publiera son
Journal
des deux mondes , des essais sur des mythes, tels que « Le supplice d