1 se que Mazzini publie en 1836 le manifeste et les journaux de la « Jeune Europe », et que le général Garibaldi préside un Congrè

2 (Lausanne, 1949) fait le lendemain l’affiche des journaux  : « Oui, Messieurs, si l’Europe doit périr, que ce soit au moins une

3 , rendant possible la lecture des affiches et des journaux , donc le suffrage universel. Une démocratie ne mérite son nom que dan

4 ier les recherches scientifiques, les articles de journaux , les volumes et les congrès sur la régionalisation de nos États. Le c

5 comme celle d’André Malraux le mois dernier à un journal suisse : Les nations sont redevenues le phénomène fondamental du siè

6 ier les recherches scientifiques, les articles de journaux , les volumes et les congrès sur la régionalisation des États européen

7 uilibrer dans le chaos ». C’est ma conclusion du Journal d’une époque . z. « Il faut donner aux gens le goût des belles cho

8 34, 1936, de la revue L’Ordre nouveau  ; et mon Journal d’une époque , 1968, p. 107, note 1. 49. Mais quand Malraux dit que

9 ommes ici à patauger, pouvons-nous lire dans son Journal des deux mondes , parce que nos voisins se font la guerre, et s’ils l

10 de risque est la seule assurance », lit-on dans Journal d’une époque . Et ailleurs : « il faut être absolument moderne. L’imm

11 rencontres, d’intrigues, de flirts, de criée des journaux et de manifestations. La possibilité physique et morale de participat

12 et qu’il fallait recomposer pour l’impression au Journal officiel. C’est qu’il pensait — et disait à ses proches — qu’il ne do

13 que la Büchergilde Gutenberg venait d’éditer mon Journal d’un intellectuel en chômage . Aux débuts de la guerre à Berne ? Mais