1 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
1 c’est leur vision tragique du péché. Le Lépreux, journal apocryphe de l’empereur Alexandre Ier de Russie, n’est qu’une suite d
2 lisme qui envahit la critique sous l’influence du journal . 2. Ici encore, on ne peut opposer ce concept d’ironie qu’à celui qu
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
3 nde d’aujourd’hui. Aujourd’hui, c’est le titre du journal grâce auquel chaque semaine ou presque, il reprend le dialogue avec s
3 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
4 ». Objurgation que l’on croirait tirée de quelque journal intime du Goethe des années ascétiques, à Weimar avant l’Italie. Et l
4 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
5 age ; New English Weekly), en Belgique (plusieurs journaux ), en Suisse (Éveil, Présence), en Espagne, en Hollande, en Irlande et
5 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
6 on pour les Conversations avec Eckermann, pour le Journal de Byron, etc. 34. Je n’arrive pas à prendre au sérieux en soi la re
6 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
7 e malentendus. 1. Parce qu’on a publié d’abord le Journal du séducteur, fragment d’un gros ouvrage intitulé De deux choses l’un
7 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
8 t il observe les signaux. Les autres (voyez leurs journaux ) se sont jetés dans un énorme embouteillage, il n’y a plus qu’à se la
8 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
9 N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal ) (juillet 1937)ae Je revois, je revis si bien la traversée, cette
10 une pénétrante odeur de laurier.   10 novembre Ce journal n’aura rien d’intime. J’ai à gagner ma vie, non pas à la regarder. To
11 nvoyé six articles à des revues, hebdomadaires et journaux . Grande facilité de travail dans le silence à peu près absolu. Mais a
12  », qu’est-ce que cela signifie ? Écrire pour les journaux , sans doute, mais il n’y en a pas tant à raconter sur ce pays. Je l’a
13 saie d’amener l’entretien sur leurs lectures, les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils suivent, ils se
14 e l’argent.   20 juin Les gens. Je feuillette ce journal  : voici des semaines qu’il n’y est à peu près plus question des « gen
15 t. ae. « N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal ) », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 286, juillet 1937, p. 63-8
9 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
16 imprévu, du patriotisme de l’arrière. Et voici le journal de cet intellectuel jeté dans un cul de bassefosse par le jeu de l’ét
10 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
17 Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)ar Il ne serait guère honnête, et moins
18 utre des figures qu’il nous révèle au cours de ce Journal  ; mais le malaise du critique commence au-delà de ce premier piège év
19 onnistes. ⁂ Ce qui séduit, ce qui fascine dans ce Journal , ce n’est rien qui puisse être défini séparément — style, sujets abor
20 ée de l’espèce d’intérêt que l’on prend à lire le Journal d’André Gide. Il est probable que, du seul point de vue de l’art, cet
21 être beaucoup mieux. Il est probable aussi que le journal est un genre littéraire inférieur, pour cette raison qu’il est toujou
22 lui-même dès 1924 : « Si plus tard on publie mon journal , je crains qu’il ne donne de moi une idée assez fausse. Je ne l’ai po
23 ignant, pitoyable. » « Si plus tard on publie mon journal … » Voilà qu’il y pourvoit lui-même. Et cependant, « donner de soi une
24 sur les limites de la sincérité en général, et du journal intime en particulier. La passion d’être complètement vrai finit par
25 e vie s’épuise dans l’œuvre ; il ne reste pour le journal que les plus sèches notations (Byron, Stendhal). D’autres fois, l’œuv
26 s (Byron, Stendhal). D’autres fois, l’œuvre et le journal sont simplement des manières différentes de poursuivre une même confi
27 suivre une même confidence. On ne sait plus si le journal est en marge de l’œuvre, ou si l’œuvre n’est qu’un moment privilégié
28 ou si l’œuvre n’est qu’un moment privilégié de ce journal . Alors le vrai portrait de l’auteur n’est plus dans l’œuvre ni dans l
29 it de l’auteur n’est plus dans l’œuvre ni dans le journal , mais dans leur mutuelle réfraction. Et par exemple, les choses tues
30 tions de l’autoportrait, si l’on se borne au seul journal . « Les choses les plus importantes à dire sont celles que souvent je
31 à, et l’on se fait trop pittoresque. En somme, le journal exigerait une discipline plus grande encore que celle de l’œuvre : il
32 e telle pensée ou de tel acte exceptionnel… ⁂ Les journaux d’écrivains sont vrais, mais d’une vérité indirecte, et parfois même
33 nt pas exactement les siennes… ar. « Au sujet du Journal d’André Gide », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 316, janvier 1
11 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
34 me donne à lire, par paquets, les épreuves de son Journal en cours d’impression, et sur lequel je vais écrire un article pour l