1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Invasion de l’érotisme au xxe siècle
1 films, les romans noirs et les albums de nus, les journaux populaires et les bandes dessinées, les chansons à la mode, les danse
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
2 erkegaard pour le Don Giovanni de Mozart. Dans le Journal de 1839, on lit déjà : D’une certaine façon, je puis dire de Don Jua
3 (« Qu’on me donne un corps ! », gémit-il dans son Journal ) et qui pressent son génie d’écrivain et sa vocation religieuse ? Don
4 ochain par excellence, et — nous le savons par le Journal  — c’était Régine ! Plus tard, le concept d’individu s’universalise (p
5 ’est pas pressée d’épouser Don Ottavio… 55. Mon Journal d’Allemagne ne fait qu’une ou deux allusions très voilées à cette tr
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
6 l me donne à lire par paquets les épreuves de son Journal en cours d’impression, et sur lequel je vais écrire un article pour l
7 te à se reprendre tôt après, tête à tête avec son Journal  ? Ne cherchait-il que l’occasion d’un aveu qui le tentait depuis long
8 estée par la publication posthume de fragments du Journal intime, et de Et nunc manet in te. Confirmation précieuse et qui m’in
9 ses œuvres. Encore qu’en aucune d’elles — sauf le Journal  — ils aient jamais « cohabité », d’où l’absence de tension profonde q
10 t plusieurs phrases telles que celle-ci (tirée du journal manuscrit de Gide, 1er janvier 1886) : « Que de fois Madeleine étant
11 p. 289. 76. Si le grain ne meurt, p. 94. 77. Journal , 16 sept. 1942. 78. Ibid., 15 mai 1949. 79. Jean Paulhan, dans l’H
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
12 c’est leur vision tragique du péché. Le Lépreux, journal apocryphe de l’empereur Alexandre Ier de Russie, n’est qu’une suite d