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films, les romans noirs et les albums de nus, les
journaux
populaires et les bandes dessinées, les chansons à la mode, les danse
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erkegaard pour le Don Giovanni de Mozart. Dans le
Journal
de 1839, on lit déjà : D’une certaine façon, je puis dire de Don Jua
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(« Qu’on me donne un corps ! », gémit-il dans son
Journal
) et qui pressent son génie d’écrivain et sa vocation religieuse ? Don
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ochain par excellence, et — nous le savons par le
Journal
— c’était Régine ! Plus tard, le concept d’individu s’universalise (p
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’est pas pressée d’épouser Don Ottavio… 55. Mon
Journal
d’Allemagne ne fait qu’une ou deux allusions très voilées à cette tr
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l me donne à lire par paquets les épreuves de son
Journal
en cours d’impression, et sur lequel je vais écrire un article pour l
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te à se reprendre tôt après, tête à tête avec son
Journal
? Ne cherchait-il que l’occasion d’un aveu qui le tentait depuis long
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estée par la publication posthume de fragments du
Journal
intime, et de Et nunc manet in te. Confirmation précieuse et qui m’in
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ses œuvres. Encore qu’en aucune d’elles — sauf le
Journal
— ils aient jamais « cohabité », d’où l’absence de tension profonde q
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t plusieurs phrases telles que celle-ci (tirée du
journal
manuscrit de Gide, 1er janvier 1886) : « Que de fois Madeleine étant
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p. 289. 76. Si le grain ne meurt, p. 94. 77.
Journal
, 16 sept. 1942. 78. Ibid., 15 mai 1949. 79. Jean Paulhan, dans l’H
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c’est leur vision tragique du péché. Le Lépreux,
journal
apocryphe de l’empereur Alexandre Ier de Russie, n’est qu’une suite d