1 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
1 qui attrape la fièvre dans mon corps. Toute cette journée baignée de l’air des collines, il semble que mon sang ce soir la comp
2 u’il pense : maintenant que nous avons clos cette journée par une récréation bien méritée), nous voulons aller dormir. Ainsi, d
3 rait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la servante au corridor.) Début de juill
4 dans la puissante circonspection de l’attente ? Ô journées souabes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des arbres désirable
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
5 r « burgrave et comte » de la Prusse-Orientale. Journées À huit heures, tout le monde se réunit en silence dans la grande s
6 Qui peut en calculer le bienfait d’énergie ? Les journées , même de vacances, baignent ici dans une atmosphère goethéenne d’util
7 tement qui donnent sa raison d’être au labeur des journées . Nous voici délivrés de la grande bourgeoisie, de ces gens qui croien
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
8 avons les mêmes histoires et nous avons durant la journée bouquiné dans les mêmes boîtes sous les arcades. La plupart des nocta