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en 1946 qu’à l’époque de Christophe Colomb : une
journée
de vol plus trois mois de démarches afin d’obtenir les visas, devises
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sant le temps de la simple récupération après une
journée
harassante. Il va donc les soumettre au rythme des machines — par le
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nce, son garage, ses impôts, de consacrer tant de
journées
de travail qu’au total ses 10 000 km lui auront pris 1700 heures de s
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trois coups rapprochés — pendant des nuits et des
journées
entières. C’est que la formule totalitaire est à jamais inapplicable
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a rejoins parfois après des heures de marche, des
journées
de voiture, des nuits de bateau. Il arrive qu’elle enveloppe une vill