1
r « burgrave et comte » de la Prusse-Orientale.
Journées
À huit heures, tout le monde se réunit en silence dans la grande s
2
Qui peut en calculer le bienfait d’énergie ? Les
journées
, même de vacances, baignent ici dans une atmosphère goethéenne d’util
3
tement qui donnent sa raison d’être au labeur des
journées
. Nous voici délivrés de la grande bourgeoisie, de ces gens qui croien
4
qui attrape la fièvre dans mon corps. Toute cette
journée
baignée de l’air des collines, il semble que mon sang ce soir la comp
5
u’il pense : maintenant que nous avons clos cette
journée
par une récréation bien méritée), nous voulons aller dormir. Ainsi, d
6
rait dans la grande maison fraîche. Maintenant la
journée
commence, avec les pas de la servante au corridor.) 30 juin 1929
7
dans la puissante circonspection de l’attente ? Ô
journées
souabes, répandues dans la fraîcheur et l’âcreté des arbres désirable
8
it chanson fredonnée sur le seuil, au matin d’une
journée
qui se liait aux autres… (Quand ta force devient visible, c’est comme
9
umée, c’est un paquebot qui en est à la troisième
journée
du trajet que nous ferons à rebours en trois heures. Nous sommes part
10
terre du père, celle qu’on peut parcourir en une
journée
et chaque jour de la vie sans se lasser, celle qu’un regard embrasse