1 t de se rendre antipathiques. Jamais la foule n’a jugé ridicule que l’on affiche un amour de la gloire même excessif pour le

2 el. J’ai tenté de définir deux attitudes. Comment juger  ? De la littérature qui veut agir dans l’immédiat, ou de celle qui se

3 lieux de plaisir de la capitale, connaissaient et jugeaient la France par ses vedettes. À leurs yeux, tout Français devait ressem

4 ’il devient la proie d’un autre. Un médecin qu’il jugera très brutal et hostile lui suggère alors que cet « autre » n’est en f

5 n’en est pas moins un prophète. Mais alors on le jugera selon sa fin. Vous m’avouerez que dans ces conditions il faut une sor

6 ères effacés ou perdus, notre époque ne sait plus juger d’une œuvre. Elle tient la rhétorique et ses figures pour arbitraires

7 rue, il ferait aussitôt mille objections. Il vous jugerait avec toute la sévérité que les enfants réservent aux adultes futiles.

8 ien, ou Etteilla restitué, Vichy, 1922.) On peut juger d’après ce texte (et son contexte) que selon Etteilla et son disciple

9 s-ci sont en nombre infini, ainsi qu’on en pourra juger par l’examen du tableau suivant. En effet, chacune des lames du tarot

10 capital bien placé. Cerveaux sans mains ! et qui jugent de haut, mais de loin, et toujours après coup, la multitude des mains

11 intermittence, certains, ont entrevu et tenté de juger les buts réels de notre marche séculaire. Que savons-nous du sens de

12 utres, c’est l’inverse. Je compare et vous laisse juger . Ce n’est pas simple. Et cela va peut-être choquer ? Que voulez-vous,