1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
1 a portée infinie de cette parole si simple : « Ne jugez pas. » On est déjà tout près de l’amour. On touche la vie, le grain d
2 que. Je ne serais donc pas fâché qu’au lieu de le juger bien ou mal, on le considère tout simplement comme une « recette pour
2 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
3 ait ma vie la plus intime ! Vous allez pouvoir en juger . Dans un grand quotidien de Bordeaux, il a paru tout un article intit
4 re mise en scène p. 92 de son livre. Nos lecteurs jugeront eux-mêmes s’il faut voir là une preuve nouvelle d’une grossière super
3 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
5 er, un nommé Oltramare, me fait emprisonner, puis juger sommairement, et Me Duperrier se voit chargé d’office de ma défense.
6 rire. Et vous, lecteurs, vous gardez le droit de juger toute cette affaire, mon livre en main, selon votre conscience de cit
7 citoyens de la plus vieille démocratie du monde. Jugez donc ! et dites avec moi que nous l’avons échappé belle ! Et que le d