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e pour faciliter l’accusation : je prends pour la
juger
ce que l’époque m’offre de mieux réussi. Voici la vie de Ford, telle
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ation occidentale. Voici donc venue l’heure de la
juger
. Le héros de l’époque, c’est l’homme qui a réussi. Mais à quoi ? C’es
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absent. Car nous y sommes à chaque page incités à
juger
, induits en tentation, induits en discussion. Je sais bien que tout c
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ns une vision du monde globale et cohérente, à le
juger
religieusement par exemple. Que l’on songe à l’œuvre d’un Ford, ou à
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vrait de se fâcher, de se poser comme juste et de
juger
ses semblables. Pire que cela, elle portait à croire que tous les hom
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éciation. Il semble qu’il n’ait aucune peine à se
juger
impartialement, sans exagérer sa critique et sans nulle complaisance.
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ral ou immoral où Gide provoque ses lecteurs à le
juger
, sûr d’avance que l’intelligence sera de son côté. — « Causons un peu
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Le protestantisme
jugé
(octobre 1931)l Parlant récemment, dans un article des Nouvelles
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ésespoir en Dieu, p. 264. l. « Le protestantisme
jugé
», Foi et Vie, Paris, n° 31, octobre 1931, p. 751-754.
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protestants (janvier 1932)m Nos gloires nous
jugent
C’est un fait digne d’intérêt, et que personne, croyons-nous, n’a
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te attitude, et de prolonger un malentendu qu’ils
jugent
peut-être flatteur, ou commode. Cette espèce de stoïcisme moral, dans
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trouvent, aux yeux de l’esprit, le plus durement
jugés
. Était-ce affaiblissement de notre foi dans l’avenir de la Réforme, b
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-nous à « réaliser » dans nos actions ce que Dieu
jugea
bon de nous révéler dans l’Évangile. Et en présence de l’intempérance
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apparaît comme Goethe l’inutilisable, si nous le
jugeons
du point de vue d’un parti. Il n’est pas païen, pour la raison péremp
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sur la foi de certains biographes ? Mais comment
juger
les actions d’un être que nous n’avons pas connu, alors que nous-même
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les idées, les théories et les systèmes dont nous
jugeons
urgent d’accentuer actuellement, la vérité ? N’est-ce point là porter
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il en France de personnes intelligentes ? Pour le
juger
il ne faudrait sans doute pas se fier au tirage moyen d’un ouvrage «
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eurs dont le monde croit vivre et des valeurs qui
jugent
cette vie. C’est à elle, en particulier, et non pas au marxisme ni au
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ous prônons tout simplement un sentiment que nous
jugeons
d’autant plus « idéal » qu’il exige de nous un moindre sacrifice. (On
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et l’ordre éternel de sa vie. Celui-là seul peut
juger
de ce monde, et s’y tenir comme n’étant pas tenu. Il n’est pas d’autr
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e la grandeur d’une telle espérance, si l’on veut
juger
sainement la politique étrange de cette nation. Mais j’ai dit que cet
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sa pension ? « Même pour l’homme le plus pieux… »
jugez
des autres ! Jugez de moi ! semble-t-il dire. Et c’est ainsi que l’in
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pour l’homme le plus pieux… » jugez des autres !
Jugez
de moi ! semble-t-il dire. Et c’est ainsi que l’incroyant se juge cha
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u mérite des œuvres ; et tous les protestants qui
jugent
encore que Calvin et Luther ont fait leur temps, — que dire de Paul b
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t introduit dans les cadres et les rites anciens,
jugés
utilisables. Or, nous voyons ce processus ecclésiastique se répéter d