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e nous exclut, précisément, d’un conflit que nous
jugeons
mauvais. Reste à savoir si le conflit actuel est « mauvais ». Puis, s
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Église qui accepte d’être constamment réformée et
jugée
par la Vérité même qu’elle annonce et dont elle doit se sentir respon
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ion d’une vérité, qui subsistait ailleurs et nous
jugeait
encore. Mais le mensonge diabolique tue le juge. Il ne part que de so
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ients et à l’ennui de cette vie propre, autrefois
jugés
normaux, ils apparaissent de plus en plus inacceptables à mesure que
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-delà. D’une part l’individu moderne est incité à
juger
sa vie mesquine, et à la fuir ; d’autre part il est aspiré par les gr