1 us les voulons en tant que tels ? ⁂ Pour qui nous jugerait sur nos littératures, l’adultère paraîtrait l’une des occupations les

2 tant. Je dirai mes raisons de persévérer, et l’on jugera si elles sont diaboliques. La première est que nous sommes parvenus a

3 bien que les témoignages sur lesquels elle a été jugée jusqu’à nos jours émanent presque exclusivement de ses adversaires. E

4 rait trop « naïf » pour étudier une matière qu’il jugerait absurde, c’est-à-dire qui n’aurait pas de sens religieux et de situat

5 « Sectateurs de l’ignorance, aveugles qui veulent juger des couleurs, oies essayant de rivaliser avec l’aigle… » Au Purgatoir

6 En vérité, la tentation était trop forte. (On en jugera par quelques exemples mis en note, et à vrai dire choisis presque au

7  : Ô mon âme, il te faut rendre grâce Toi qui fus jugée digne alors d’un tel honneur. D’Elle te vient cet amoureux penser Qui

8 e qui sent presque l’impertinence. (Le xviiie la jugera vite de mauvais goût.) La convenance des rangs et la conformité des «

9 e et d’idéalisme diffus, pour que Chamfort ait pu juger « piquant » de noter cette maxime et de la publier. Cela pouvait enco

10 ée pour sa lucidité psychologique. On a trop vite jugé le « rousseauisme » moral en attribuant à l’auteur du roman les croya

11 dont la sienne se trouve privée (même si tous la jugent la plus belle). C’est qu’il ne sait plus posséder, ni plus aimer ce q

12  » sexuel de la jeunesse que l’on serait tenté de juger sans précédent dans notre histoire européenne192. Quant au mariage, i

13 sein le plus secret m’échappe encore. L’aveu sera jugé insolite. Mais je pressens d’assez profondes raisons de le consentir.

14 anifestation de tendresse entre mari et femme est jugée inconvenante. 5. – Mystique et amour courtois Dans un appendic