1 1946, Journal des deux mondes. Avertissement
1 ondition sociale ou un métier, il est clair qu’il jugera différemment, et donc verra d’autres réalités qu’un touriste qui se c
2 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
2 int final à ce journal de petite attente. Il faut juger notre vie par sa fin, pour mesurer l’importance relative des événemen
3 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
3 et de ces femmes, ni les miens, dont nul ne peut juger et qui peut-être n’en sont point. Ce n’était pas le froid, la pluie,
4 s, avec une sorte de nostalgie à la Lawrence. Ils jugent en général trop formalistes ou rhétoriques nos poèmes et nos essais.
5 er, ils tournent aussitôt au pédant germanique et jugent mundane ou irresponsible celui qui évite dans ses écrits les mots en
4 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
6 n type d’humains normalement adaptés à une nature jugée normale, est une réussite hautement improbable. Mais c’est par cela m
5 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
7 nt, s’était mise dans ce cas. ⁂ On ne savait plus juger du « bien écrire » sinon par référence à des modèles anciens. (Que de
8 platitudes de l’autre, c’est facile et le public jugera . Août 1943 Beekman Place. — Mes dix jours de vacances, que je
6 1946, Journal des deux mondes. Virginie
9 qui n’en avaient vu que les lieux de plaisir, la jugeaient sur la foi de ses vedettes. À leurs yeux, tout Français devait ressem