1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 e j’admirais tout à l’heure. Et celui qui veut la juger comme une femme en général, et non pas comme une Léda, comme cette Lé
2 ère aussi dans son risque propre, et peut donc la juger . Le peintre. Juger ! Tout cela est bel et bon, mais si l’esthétique
3 isque propre, et peut donc la juger. Le peintre. Juger  ! Tout cela est bel et bon, mais si l’esthétique et la morale ne sont
4 il en sortira ce qu’il en pourra sortir, et vous jugerez comme vous l’entendrez. Ce qui m’importe, c’est de faire jouer des va
5 rt, en présence de votre tableau, bien loin de le juger selon quelque canon, doit commencer par découvrir les rapports singul
6 oins des cartes postales, « en couleur ». Et vous jugez à partir de Renoir à peu près de la même façon que votre coiffeur à p
7 i qui, devant une femme, non seulement méprise de juger — belle ou laide — non seulement se tait, mais encore se tait fort lo
8 pourrait-il en être autrement ? Ils persistent à juger de toutes les femmes, de toutes les autres femmes, selon les canons e
9 un mari de sa femme ? Où prenez-vous le droit de juger l’un comme s’il ne formait pas avec l’autre « une seule chair » ? Ou
2 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
10 n’en est pas moins un prophète. Mais alors on le jugera selon sa fin. Vous m’avouerez que dans ces conditions il faut une sor
3 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
11 t de se rendre antipathiques. Jamais la foule n’a jugé ridicule que l’on affiche un amour de la gloire même excessif pour le
4 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
12 r intermittence, certains ont entrevu et tenté de juger les buts réels de notre marche séculaire. Que savons-nous du sens de