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e j’admirais tout à l’heure. Et celui qui veut la
juger
comme une femme en général, et non pas comme une Léda, comme cette Lé
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ère aussi dans son risque propre, et peut donc la
juger
. Le peintre. Juger ! Tout cela est bel et bon, mais si l’esthétique
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isque propre, et peut donc la juger. Le peintre.
Juger
! Tout cela est bel et bon, mais si l’esthétique et la morale ne sont
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il en sortira ce qu’il en pourra sortir, et vous
jugerez
comme vous l’entendrez. Ce qui m’importe, c’est de faire jouer des va
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rt, en présence de votre tableau, bien loin de le
juger
selon quelque canon, doit commencer par découvrir les rapports singul
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oins des cartes postales, « en couleur ». Et vous
jugez
à partir de Renoir à peu près de la même façon que votre coiffeur à p
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i qui, devant une femme, non seulement méprise de
juger
— belle ou laide — non seulement se tait, mais encore se tait fort lo
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pourrait-il en être autrement ? Ils persistent à
juger
de toutes les femmes, de toutes les autres femmes, selon les canons e
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un mari de sa femme ? Où prenez-vous le droit de
juger
l’un comme s’il ne formait pas avec l’autre « une seule chair » ? Ou