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oix posée, monotone et basse : — C’était le 26 de
juillet
, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin, je me dis : qu’est-ce q
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passer quinze jours dans un camp avec des amis en
juillet
. Tout cela probablement parce que j’étais à bout de ressources, ne bo
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aine, elle ne pose plus de questions utiles. 2
juillet
1934 La sécheresse a été la plus forte : malgré nos arrosages, les
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tes choses pour la première fois mesquines… 10
juillet
1934 Tout est bouclé, ficelé, cloué, transporté en brouette à la s
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hommes et femmes, âgés de soixante ans au mois de
juillet
193017. Tous ceux qui ne bénéficient pas de la loi des assurances soc
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Troisième partieL’été parisien 2
juillet
1935 Arrivée à Paris. — Après la Beauce au grand soleil, pendant
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çant je ne sais quelle émeute : voilà ce Paris de
juillet
que toute la province oubliait, des blés de Beauce aux plages de l’Oc
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un taxi, nous filons vers la porte d’Italie. 5
juillet
1935 Porte de Choisy. — Dans le ciel vert d’un couchant de banlie
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Kagawa aux carrefours des bas-fonds de Kobé. 7
juillet
1935 Depuis une semaine que j’habite près de cette Porte, je n’ava
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nture qu’on rejoint l’Europe d’aujourd’hui. 10
juillet
1935 Toutes les radios du bloc par les fenêtres grandes ouvertes à
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rapides comme des « n’est-ce pas ». Soir du 14
juillet
1935 Voici une heure que je suis assis à une terrasse de la Porte
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nexprimablement réel. Après les cortèges du 14
juillet
1935 Scepticisme et politique. — « J’entends crier de toutes part
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s même le temps de réfléchir à ma question. 18
juillet
1935 Mystifications. — Quelques rencontres avec des écrivains imp
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en douter. Gardons-nous de les décourager ! 21
juillet
1935 Je traversais hier soir le quartier de Passy, en proie aux to
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nser dans un monde où l’on rit comme cela. 28
juillet
1935 Le Prochain. — Dans la presse du métro, vers 7 heures du soi