1 es dix « conjurés » aura lieu demain. Début de juillet 1940 Repris mon service à la section Armée et Foyer. Écrit le man

2 enait, en tant que « résistance », inutile. Le 16 juillet , Pro Helvetia, par le Secrétariat des Suisses à l’étranger, m’offrait

3 sbonne. 5. On se rappelle, en Suisse, que le 25 juillet , le général Guisan convoqua tous les officiers supérieurs de l’armée

4 voyé un long câble à V. O., à Buenos Aires. 17 juillet 1941 Je pars demain pour l’Argentine, où je donnerai douze confére

5 Voyage en Argentine À bord de l’Argentina, 18 juillet 1941 C’était ce qu’il fallait ces musiques, ces orchidées au col d

6 e libération. Avouons-la, et couchons-nous. 21 juillet 1941, en mer Nuit des tropiques. Tout à l’avant du pont, le vent m

7 es, suis-je en train de changer de destin ? 23 juillet 1941, en mer Je pensais rester seul et je connais tout le monde. P

8 eux qui ne risquent rien et qui n’ont rien. 26 juillet 1941, en mer Je jouais à l’appareil à sous, par petites pièces d’u

9 al Marshall : « Nous débarquerons en France. » Juillet 1942 Saint-John Perse 12. — Lorsqu’il est arrivé en Amérique, il

10 in », et Bach inaperçu pendant cinquante ans.) Juillet 1943 Washington antigaulliste, mais soucieuse d’objectivité, me do

11 op larges ouvertures sur un avenir planétaire. Juillet 1945 Antisémitisme. — Un voisin de l’été dernier est venu nous re

12 de mes meilleurs amis sont antisémites… » Fin juillet 1945 Le mensonge allemand. — Au problème juif, la défaite de l’Al