1
s, si longtemps qu’elles ont fui. Avril et mai et
juillet
sont lointains, Je ne suis plus rien, je n’aime plus vivre. Il y ava
2
qui se laissera peut-être approcher. Début de
juillet
1929 Écrivez donc une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gé
3
rois bien que je sens la vie tout le temps… 15
juillet
1929 Le père Reinecke me félicite de ma bonne mine, résultat selon
4
sont pauvres de n’avoir que ce qu’ils ont. 19
juillet
1929 Ces mois de Souabe m’apparaissent de plus en plus comme une r
5
ente redevient une conquête de la sagesse. Fin
juillet
1929 Promenades sous la pluie, à la tombée du jour. L’esprit patie
6
notre âme et la retiennent, la captivent. Fin
juillet
1929 Vraiment la rapidité ne saurait être le fait d’un esprit inca
7
oix posée, monotone et basse : « C’était le 26 de
juillet
, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin, je me dis : Qu’est-ce q
8
aine, elle ne pose plus de questions utiles. 2
juillet
1934 La sécheresse a été la plus forte : malgré nos arrosages, les
9
tes choses pour la première fois mesquines… 10
juillet
1934 Tout est bouclé, ficelé, cloué, transporté en brouette à la s
10
hommes et femmes, âgés de soixante ans au mois de
juillet
1930. Tous ceux qui ne bénéficient pas de la loi des assurances socia
11
Troisième partieL’été parisien 2
juillet
1935 Arrivée à Paris. — Après la Beauce au grand soleil, pendant
12
çant je ne sais quelle émeute : voilà ce Paris de
juillet
que toute la province oubliait, des blés de Beauce aux plages de l’Oc
13
un taxi, nous filons vers la porte d’Italie. 5
juillet
1935 Porte de Choisy. — Dans le ciel vert d’un couchant de banlie
14
Kagawa aux carrefours des bas-fonds de Kobé. 7
juillet
1935 Depuis une semaine que j’habite près de cette Porte, je n’ava
15
nture qu’on rejoint l’Europe d’aujourd’hui. 10
juillet
1935 Toutes les radios du bloc par les fenêtres grandes ouvertes à
16
ritures rapides comme des « n’est-ce pas ». 11
juillet
1935 Impossibilité du libre-échange humain. — Considération irrit
17
alendes de la Grande Communication… Soir du 14
juillet
1935 Voici une heure que je suis assis à une terrasse de la Porte
18
nexprimablement réel. Après les cortèges du 14
juillet
1935 Scepticisme et politique. — « J’entends crier de toutes part
19
s même le temps de réfléchir à ma question. 18
juillet
1935 Mystifications. — Quelques rencontres avec des écrivains imp
20
en douter. Gardons-nous de les décourager ! 21
juillet
1935 Je traversais hier soir le quartier de Passy, en proie aux to
21
enser dans un monde où l’on rit comme cela. 28
juillet
1935 Le prochain. — Dans la presse du métro, vers sept heures du
22
n’ai vu Thivars, Thivars ne m’aura pas connu. Fin
juillet
, j’assistais à la naissance dans une clinique parisienne de mon fils
23
rt par le hasard d’une rencontre, un beau soir de
juillet
aux Deux Magots. Je leur réponds qu’on ne m’a pas nommé dans l’ignora
24
a vie, j’ai eu honte d’être Suisse. » Début de
juillet
1940 Rencontres quotidiennes, à Berne ou à la campagne, soit avec
25
e. Mais les banderilles ont été plantées82. 10
juillet
1940 Réunion avec trois officiers de l’E. M. G. chargés de prépare
26
cul, au moment de s’endormir, par exemple. Fin
juillet
1940 Je rédige une brochure intitulée : Qu’est-ce que la Ligue du
27
ancêtres se sont levés. C’est notre tour. 25
juillet
1940 Hier a eu lieu le rapport du Grütli84. Tout notre dispositif
28
enait, en tant que « résistance », inutile. Le 16
juillet
, le Secrétariat des Suisses à l’étranger85 m’offrait une « mission de
29
pétie. Envoyé un long câble à Buenos Aires. 17
juillet
1941 Je pars demain pour l’Argentine, où je donnerai douze confére
30
Voyage en Argentine À bord de l’Argentina, 18
juillet
1941 C’était ce qu’il fallait ces musiques, ces orchidées au col d
31
e libération. Avouons-la, et couchons-nous. 21
juillet
1941, en mer Nuit des tropiques. Tout à l’avant du pont, le vent m
32
es, suis-je en train de changer de destin ? 23
juillet
1941, en mer Je pensais rester seul et je connais tout le monde. P
33
eux qui ne risquent rien et qui n’ont rien. 26
juillet
1941, en mer Je jouais à l’appareil à sous, par petites pièces d’u
34
point de départ d’une vie vraiment humaine. 10
juillet
1942 André Maurois me disait l’an dernier : « Je suis très heureux
35
inaperçu pendant un siècle après sa mort.) 14
juillet
1943 Washington antigaulliste, mais soucieuse d’objectivité, me do
36
tus. Depuis qu’ils ont rencontré ce regard. 10
juillet
1944 Le général de Gaulle, président du gouvernement provisoire d
37
tion qu’il donnera au Waldorf Astoria le lundi 10
juillet
1944, 6 à 8 heures. Salle : Basildon Room. Le chauffeur de taxi, com
38
op larges ouvertures sur un avenir planétaire.
Juillet
1945 Antisémitisme. — Un voisin de l’été dernier est venu nous re
39
on père ! dit-elle avec une fière douceur. Fin
juillet
1945 Le mensonge allemand. — Au problème juif, la défaite de l’Al