1 e souvenir, le dernier printemps de la paix… 5 juin 1939 Le désarroi de l’époque — nous lisons cela partout depuis vin

2 nce, le « malgré tout » dont nous vivrons ! 10 juin 1939 L’origine de toutes nos haines, l’origine de toute amertume,

3 ait-on — d’affronter les armées régulières. 19 juin 1939 « Notre Führer fait une politique d’artiste ! », a proclamé M

4 is adopté par ses victimes, les philistins. 21 juin 1939 À Saint-Germain-des-Prés, le printemps parisien, ce soir, tou

5 a reconnaissance de l’unique nécessaire ? 6 juin 1940 Hier soir, à Lausanne, avec Theo Spoerri, pour l’émission nat

6 cautions, avant d’avoir calculé la dépense… 12 juin 1940 Débâcle française sur la Seine. Notre projet me travaille. Sp

7 i s’incarne, qui « prend corps ». Dimanche, 16 juin 1940 À 11 heures, hier matin, mon ordonnance fait irruption dans m

8 cimetière… L’envahisseur avait prophétisé : le 15 juin j’entrerai dans Paris. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris

9 ille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de juin pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur Saint-Ge

10 …car ils ne savent ce qu’ils font. » Lundi 17 juin 1940, soir Faisons le point, bon exercice pour rester maître de so

11 es tapantes au bureau, surtout. Notre projet du 6 juin se précise. Ph. est en train de convoquer pour le 22 juin les dix per

12 précise. Ph. est en train de convoquer pour le 22 juin les dix personnes que nous avons « contactées » ces jours derniers. S

13 tant dans ces moments où tout peut arriver. 18 juin 1940 À sept heures précises au bureau. Sur ma table une note me pr

14 es de Guderian descendent vers la Faucille. 19 juin 1940 Atmosphère d’imminence, je ne puis la caractériser mieux. Tou

15 pation des petites choses précises à faire. 20 juin 1940 Tourné le bouton de ma radio qui se trouvait arrêtée sur Lond

16 tte fois-ci j’ai pleuré. Quelle délivrance. 21 juin 1940 La justice militaire ne veut pas de mon cas. On m’a donc déce

17 lles sont les petites surprises de l’exil. Fin juin 1942 Une journée à l’OWI. — André Breton, superbement courtois, p

18 et l’écouter parler des malheurs de sa France… Juin 1942 La guerre va mal, il faut le dire, et persuader l’Europe qu’e

19 du général de Gaulle à la radio de Londres, le 18 juin 1940. Mais de Gaulle était justement le contraire d’un officiel à cet

20 que si elle cesse de lutter. Lake George, fin juin 1945 Le dernier des Mohicans. — Le clapotis doux d’une pagaie tra

21 is bien souvent désespéré, après cet au-revoir en juin 1940, qui sonnait malgré moi comme un adieu… Le jour point derrière l