1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
1 is le feu s’éteint — l’esprit souffle où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loin d’elle (dans
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
2 ensuite : « Heil’ge Nacht, oh giesse du ! » 10 juin 1929 Tennis avec la jolie fille au collier de perles bleues. Après
3 es Franzosen. On ne me permet pas d’entrer. 11 juin 1929 Au rebours des classiques français, livrés à l’Enseignement,
4 n peu sourire, et qui est si réconfortante. 12 juin 1929 Paracelse et Swedenborg : Goethe m’y ramène, dont je lis qu’i
5 t lente, et qui jouit parfois de son objet… 13 juin 1929 Werther. J’ai mis des feuilles de buvard entre les pages, à
6 rs aux yeux secs, voilà ce que nous sommes. 14 juin 1929 Je suis assis en face du magazine que lit le père Reinecke. S
7 ourg L’esplanade du Brühl, un soir de fête, en juin . Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes de gam
8 nd peut-être, derrière ses volets mal clos… 20 juin 1929 Hier, au moment de me quitter après une promenade en forêt, e
9 ’ailleurs qu’il n’y a pas lieu de résister. 22 juin 1929 Rencontre avec la jeune fille tzigane. Le dirai-je ici comme
10 , avec les pas de la servante au corridor.) 30 juin 1929 Hier soir sur la route des collines, pendant une promenade d’
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
11 e dernière. À cette heure où Paris… Berne, 15 juin 1940 « À cette heure où Paris exsangue voile sa face d’un nuage et
12 cimetière… L’envahisseur avait prophétisé : le 15 juin j’entrerai dans Paris. Il y entre, en effet, mais ce n’est plus Paris
13 ille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de juin pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur Germain-
14 ne savent ce qu’ils font.” » Ce texte parut le 17 juin dans la Gazette de Lausanne , entre l’arrivée au pouvoir de Pétain d
15 l’arrivée au pouvoir de Pétain dans la nuit du 16 juin , et l’appel de Londres lancé par de Gaulle le 18 juin. L’article me v
16 , et l’appel de Londres lancé par de Gaulle le 18 juin . L’article me valut une condamnation à quinze jours de forteresse, au
17 is bien souvent désespéré, après cet au revoir en juin 1940, qui sonnait malgré moi comme un adieu… Le jour point derrière l