1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 ès pressant, ni surtout que nous ayons à chercher là-bas notre salut. « La seule leçon à attendre des musulmans, c’est que le
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 iques des lumières et des odeurs, espérant entrer là-bas dans je ne sais quelle harmonie plus reposante. Cette imparfaite acco
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
3 ennui de ma révolte ? Aragon sarcastique se tient là-bas dans un rayon échappé des Enfers — auxquels je crois encore, et pas s
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
4 ’en faire soi-même une meilleure. Mais j’aperçois là-bas , vautré derrière son bock, le Citoyen conscient et organisé pour la d
5 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
5 essus qu’il improvise, oh ! j’aimerais tant aller là-bas , cette folie m’apparaît comme une chose si douce et si grande… »11 E
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
6 ’en faire soi-même une meilleure. Mais j’aperçois là-bas , vautré derrière son bock, le Citoyen conscient et organisé pour la d
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
7 ns précises et courageuses, tout ce qui t’appelle là-bas , maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perdu… Un t
8 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
8 ns précises et courageuses, tout ce qui t’appelle là-bas , maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perdu… Un t
9 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
9 essus qu’il improvise, oh ! j’aimerais tant aller là-bas , cette folie m’apparaît comme une chose si douce et si grande…14 » Et
10 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
10 our la plupart des êtres qui peuplent ces villes, là-bas , que le nom d’homme ne saurait plus les désigner sans fraude. Un bel
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 ns précises et courageuses, tout ce qui t’appelle là-bas , maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perdu… Un t
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
12 essus qu’il improvise, oh ! j’aimerais tant aller là-bas , cette folie m’apparaît comme une chose si douce et si grande… »13 E
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
13 our la plupart des êtres qui peuplent ces villes, là-bas , que le nom d’homme ne saurait plus les désigner sans fraude. Un bel
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
14 1944 Je ne savais pas que tout était si près, là-bas . J’étais baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes. Sédi
15 e je connais d’avance et ne pourrai que retrouver là-bas , c’est celui de ma nostalgie de l’Amérique. De ce présent que je vis
16 sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui crie, tout là-bas vers les Invalides. L’or pâle du dôme s’avive au-dessus des toits ble
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
17 nces et des secrets de son pays. Il songe : c’est là-bas que le mystère m’attend, et que ne vais-je pas y découvrir, à mon ret
16 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
18 ns de la crise. 5. Nos écrivains courent admirer là-bas la fabrication d’une casserole en treize minutes. — « Nous ferons mie
17 1934, Politique de la personne. Appendice — 1. Liberté ou chômage ?
19 s de la crise. 73. Nos écrivains courent admirer là-bas la fabrication d’une casserole en treize minutes. — « Nous ferons mie
18 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
20 treprises coloniales : mais on ne construit plus, là-bas , et il n’y a plus de colonies. D’autres étaient mécaniciens, aviateur
21 eau ; le dernier, paysan. On n’a pas voulu d’eux, là-bas . Et les voici lancés dans une vie d’aventures qu’ils n’avaient pas vo
19 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 1. Liberté ou chômage ?
22 s de la crise. 76. Nos écrivains courent admirer là-bas la fabrication d’une casserole en treize minutes. — « Nous ferons mie
20 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
23 cachent tout au bout du champ de pommes de terre, là-bas près de la barrière sud. Finalement, nous les pourchassons dans le co
21 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
24 s. Sinon, il sera toujours temps d’aller demander là-bas ce qui nous manque. II. Leçon de dictature De tout ce qui précè
25 réations aussi fortes que celles qui nous défient là-bas , nous serons colonisés, comme la Grèce par Rome. Cessons de loucher a
22 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
26 s. Sinon, il sera toujours temps d’aller demander là-bas ce qui nous manque. 36. Pas tous d’ailleurs, ni les plus marquants…
23 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
27 portée : ce n’est pas pour l’amour des hommes de là-bas que je m’attache à distinguer dans leur régime ce qui est bon et ce q
24 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
28 réations aussi fortes que celles qui nous défient là-bas , nous serons colonisés, comme la Grèce par Rome. Cessons de loucher a
25 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
29 s. Sinon, il sera toujours temps d’aller demander là-bas ce qui nous manque. 37. Pas tous d’ailleurs, ni les plus marquants…
26 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
30 portée : ce n’est pas pour l’amour des hommes de là-bas que je m’attache à distinguer dans leur régime ce qui est bon et ce q
27 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
31 réations aussi fortes que celles qui nous défient là-bas , nous serons colonisés, comme la Grèce par Rome. Cessons de loucher a
28 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
32 trement, vous savez ce qui se passe, les employés là-bas , au ministère, ils mettent l’argent dans leur poche. — Tous les mas e
29 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
33 yais ? Qu’il y a quelque chose de sérieux à faire là-bas  ? Je vais m’y mettre. 28 février Terminé hier soir la rédaction de ma
30 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
34 et rapides rasent les terres brunies, font luire là-bas une dernière prairie verte, étinceler un tas de sel, puis se perdent
35 s masses contre le ciel fatal, et l’homme se tait là-bas , « ne s’entend plus », dans la multitude en tumulte, tandis qu’ici, d
36 sieurs voulurent savoir si cela marchait vraiment là-bas aussi bien que j’avais pu le laisser croire ; si ce n’était pas encor
31 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
37 trement, vous savez ce qui se passe, les employés là-bas , au ministère, ils mettent l’argent dans leur poche… — Tous les mas e
38 yais ? Qu’il y a quelque chose de sérieux à faire là-bas  ? Je vais m’y mettre. 28 février 1935 Terminé hier soir la réda
32 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
39 sieurs voulurent savoir si cela marchait vraiment là-bas , aussi bien que j’avais pu le laisser croire ; si ce n’était pas enco
33 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
40 sais que tout n’est pas mal, de ce qui s’est fait là-bas , loin de là. Je tiendrai compte de toutes ces objections. Auparavant,
41  ? Ne voit-on pas que la paix sociale est obtenue là-bas par l’écrasement des faibles ? Ne voit-on pas que l’unanimité des ouv
34 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
42 e propos : « Tout n’est pas mal de ce qui se fait là-bas . Il y a bien des choses à y prendre. » Certes, Hitler a rétabli l’ord
43 e — c’est l’état de guerre. Tout ce que l’on fait là-bas se fait au nom de l’union sacrée, morale de guerre ; et toutes les me
35 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
44 , on nous laissera tranquilles, parce qu’on saura là-bas que nous ne sommes pas assimilables. Voilà la résistance civique et t
36 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
45 é de faire comprendre ici la chose qui est en jeu là-bas  : il m’a fallu, sur place, des mois pour la comprendre. Je m’étonne a
37 1938, Journal d’Allemagne. II. Conclusion 1938
46 e propos : « Tout n’est pas mal de ce qui se fait là-bas . Il y a bien des choses à y prendre. » Certes, Hitler a rétabli l’ord
47 e — c’est l’état de guerre. Tout ce que l’on fait là-bas se fait au nom de l’union sacrée, morale de guerre ; et toutes les me
38 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
48 r toujours : le vaste empire de l’éternelle nuit. Là-bas , une science unique nous est donnée : le divin, l’éternel, l’originel
39 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
49 époque en faillite — une dette que plus personne, là-bas , n’est disposé à reconnaître. On n’a plus de comptes à rendre à cet «
40 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
50 Témoin de Dieu dans le fracas de la colère. Là-bas , tous crient : Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous crient 
51 lle ! Notre héros et notre saint nous parle. Là-bas , tous crient : Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous crient 
41 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
52 anfare en sourdine.) Regarde ! Est-ce que tu vois là-bas  !… (Une petite scène latérale, à gauche du plan 2, s’éclaire comme un
42 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
53 Nicolas. —  Pauvres gens ! Il y a donc la guerre là-bas  ? Le pèlerin. —  Les ducs d’Autriche et de Bourgogne font leurs qu
54 emble ! Union sacrée ! Courage ! Déjà, ils fuient là-bas comme un nuage ! Voix des suisses. —  Qui vient ? Qui fuit ? Et qu
55 plan 3.) Hornek. —  Holà ! Je vois un messager, là-bas , vers l’ouest, dans le couchant ! Diesbach. —  Il fait signe, il c
43 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
56 retombe.) Haimo (penché vers Nicolas). —  Vois là-bas  ! Ils se sont levés ! Tout s’apprête pour la guerre ! Soldats rangés,
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
57 r toujours : le vaste empire de l’éternelle nuit. Là-bas , une science unique nous est donnée : le divin, l’éternel, l’originel
45 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
58 antes, défends-moi, de peur que je ne sois retenu là-bas (en enfer) ; en tous lieux je me tiens pour ton prisonnier et, réconf
46 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
59 époque en faillite — une dette que plus personne, là-bas , n’est disposé à reconnaître. On n’a plus de comptes à rendre à cet «
47 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
60 r toujours : le vaste empire de l’éternelle nuit. Là-bas , une science unique nous est donnée : le divin, l’éternel, l’originel
48 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
61 antes, défends-moi, de peur que je ne sois retenu là-bas (en enfer) ; en tous lieux je me tiens pour ton prisonnier et, réconf
49 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
62 époque en faillite — une dette que plus personne, là-bas , n’est disposé à reconnaître. On n’a plus de comptes à rendre à cet «
50 1940, Articles divers (1938-1940). La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13 septembre 1940)
63 prendre contact avec les milieux suisses établis là-bas , il nous dit son sentiment sur la ligue du Gothard dont il est un mem
51 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
64 e 1943 Je ne savais pas que tout était si près là-bas . J’étais baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes. Sédi
52 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
65 er, alimente encore quotidiennement la chronique, là-bas . Avez-vous été séduit par l’Amérique ? Je l’aime énormément ; c’est u
66 d’un pittoresque extravagant qui nous viennent de là-bas  ? Puérils, ils le sont à nos yeux sur certains points, et nous le som
53 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
67 sons… Si ! je ne rêve pas : un coq qui crie, tout là-bas vers les Invalides. L’or pâle du Dôme s’avive au-dessus des toits ble
54 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
68 américaine éveille chez un Européen ? En arrivant là-bas , on a l’impression très nette de pénétrer dans une autre civilisation
69 oraux y sont très différents de ceux de l’Europe. Là-bas , certaines choses vont de soi ; chez nous, elles paraissent bizarres.
70 , pas très decent, qualité qu’un jeune citoyen de là-bas expliquait en ces termes : « Être decent, c’est tenir sa parole et se
71 nt nécessaires à leur organisme. Tout le monde a, là-bas , le plus grand respect pour les experts en n’importe quoi. Au point d
72 re, si vivante chez nous, est presque inexistante là-bas . Les grèves peuvent être violentes, mais cela ne veut pas dire que l’
55 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
73 partie de la Ligue nouvelle. Les deux grands qui, là-bas , occupent la scène ne sont pas représentés dans cette enceinte. Nous
56 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
74 raît propre à maintenir le mal. Comment le guérir là-bas , et le prévenir ici ? Faut-il « les » aider ? La Suisse, dans
57 1946, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe (écrit en Amérique, en 1943) (août-septembre 1946)
75 46)ah Je ne savais pas que tout était si près, là-bas . J’étais baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes. Sédi
58 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
76 en aurons bientôt autant chez nous qu’il en reste là-bas . Nous aimions beaucoup La Guardia, que nous baptisions la Fleurette.
59 1946, Journal des deux mondes. Intermède
77 ait venir que d’Amérique. Peut-être bien était-ce là-bas qu’il me serait donné quoique « neutre », de faire la guerre à ma faç
60 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
78 ent, et beaucoup ne veulent rien savoir… Beaucoup là-bas ont perdu leur maison, et c’était leur pays et leur enfance, ils n’on
79 chez vous la religion de ceux qui n’en ont point. Là-bas , ils ont des religions antiques et ils sont tristes et méchants, ici
80 ’écrit de Suisse pour me presser de rentrer. Mais là-bas , que pourrai-je bien faire ? La censure ne s’est pas relâchée, et d’e
61 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
81 d d’une campagne française — ce sera déjà la nuit là-bas  — des oreilles clandestines entendront : « la Voix de l’Amérique parl
82 les échos nous en reviennent de France. Leur dire là-bas , dire à la Résistance, que la situation se redresse lentement dans le
62 1946, Journal des deux mondes. Intermède. Mémoire de l’Europe
83 Europe Je ne savais pas que tout était si près, là-bas . J’étais baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes. Sédi
63 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
84 e je connais d’avance et ne pourrai que retrouver là-bas , c’est celui de ma nostalgie de l’Amérique. D’un présent vécu comme p
85 sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui crie, tout là-bas vers les Invalides. L’or pâle du dôme s’avive au-dessus des toits ble
86 partie de la ligue nouvelle. Les deux grands qui là-bas occupent la scène ne sont pas représentés dans cette enceinte. Nous l
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
87 ns précises et courageuses, tout ce qui t’appelle là-bas , maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perdu… Un t
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VI. La tour de Hölderlin
88 essus qu’il improvise, oh ! j’aimerais tant aller là-bas , cette folie m’apparaît comme une chose si douce et si grande…10 » Et
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
89 our la plupart des êtres qui peuplent ces villes, là-bas , que le nom d’homme ne saurait plus les désigner sans fraude. Un bel
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
90 et rapides rasent les terres brunies, font luire là-bas une dernière prairie verte, étinceler un tas de sel, puis se perdent
91 s masses contre le ciel fatal, et l’homme se tait là-bas , « ne s’entend plus », dans la multitude en tumulte, tandis qu’ici, d
92 sieurs voulurent savoir si cela marchait vraiment là-bas aussi bien que j’avais pu le laisser croire ; si ce n’était pas encor
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
93 trement, vous savez ce qui se passe, les employés là-bas , au ministère, ils mettent l’argent dans leur poche… — Tous les mas e
94 yais ? Qu’il y a quelque chose de sérieux à faire là-bas  ? Je vais m’y mettre. 28 février 1935 Terminé hier soir la réda
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
95 é de faire comprendre ici la chose qui est en jeu là-bas  : il m’a fallu, sur place, des mois pour la comprendre. Je m’étonne a
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — II. Conclusions
96 e propos : « Tout n’est pas mal de ce qui se fait là-bas . Il y a bien des choses à y prendre. » Certes, Hitler a rétabli l’ord
97 e — c’est l’état de guerre. Tout ce que l’on fait là-bas se fait au nom de l’union sacrée, morale de guerre ; et toutes les me
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède
98 ait venir que d’Amérique. Peut-être bien était-ce là-bas qu’il me serait donné, quoique « neutre », de faire la guerre à ma fa
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
99 es sont excellentes, mais comment sont-elles lues là-bas  ? Crainte de l’atmosphère optimiste — simplificatrice — capitaliste.
100 ne correspondent à rien d’actuel ou de concevable là-bas . Essayer de faire du roman, du théâtre ? Ce n’est pas moi. Un moralis
101 ais n’en paraissent guère enchantés… Si tout rate là-bas , le refuge de l’Argentine ? Ou encore, apprendre l’anglais assez pour
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
102 ent, et beaucoup ne veulent rien savoir… Beaucoup là-bas ont perdu leur maison, et c’était leur pays et leur enfance, ils n’on
103 chez vous la religion de ceux qui n’en ont point. Là-bas , ils ont des religions antiques et ils sont tristes et méchants, ici
104 ’écrit de Suisse pour me presser de rentrer. Mais là-bas , que pourrais-je bien faire ? La censure ne s’est pas relâchée, et d’
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
105 d d’une campagne française — ce sera déjà la nuit là-bas  — des oreilles clandestines entendront : « La Voix de l’Amérique parl
106 les échos nous en reviennent de France. Leur dire là-bas , dire à la Résistance, que la situation se redresse lentement dans le
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède : mémoire de l’Europe
107 Europe Je ne savais pas que tout était si près, là-bas . J’étais baigné. J’étais fondé. Et je marchais parmi les signes. Sédi
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
108 e je connais d’avance et ne pourrai que retrouver là-bas , c’est celui de ma nostalgie de l’Amérique. De ce présent que je vis
109 sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui crie, tout là-bas vers les Invalides. L’or pâle du dôme s’avive au-dessus des toits ble
110 partie de la ligue nouvelle. Les deux grands qui là-bas occupent la scène ne sont pas représentés dans cette enceinte. Nous l
77 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
111 d d’une campagne française — ce sera déjà la nuit là-bas — des oreilles clandestines entendront : La Voix de l’Amérique parle
112 les échos nous en reviennent de France. Leur dire là-bas , dire à la Résistance que la situation se redresse lentement dans le
78 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
113 ffair mesure sa perversité. Il s’agit avant tout, là-bas , de ne pas être involved, ou compromis. (Mais c’est un mot très diffi
114 . — Bien vu en Amérique. Mal vu chez nous. On dit là-bas  : il sait ce qu’il veut, et il poursuit son but avec ténacité, quels
115 en aurons bientôt autant chez nous qu’il en reste là-bas . Nous aimions beaucoup La Guardia, que nous baptisions la Fleurette.
79 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
116 tour de l’engagement de l’écrivain n’existent pas là-bas . Écrire, aux États-Unis, c’est entretenir les lecteurs des problèmes
80 1948, Suite neuchâteloise. I
117 nces et des secrets de son pays. Il songe : c’est là-bas que le mystère m’attend, et que ne vais-je pas y découvrir, à mon ret
81 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
118 t que des emprunts à notre fonds, mais développés là-bas , sur table rase, sans mesure ni critique, méthodiquement, jusqu’à la
82 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
119 t que des emprunts à notre fonds, mais développés là-bas sans mesure ni critique, méthodiquement, parfois jusqu’à la monstruos
83 1951, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Peut-on fabriquer un Européen ? (15 janvier 1951)
120 qu’à tort ou à raison nous faisons à l’Amérique : là-bas , répétons-nous, tout se ressemble ! (Que dirions-nous d’autres régime
84 1951, Articles divers (1951-1956). Comment fabriquer un Européen ?
121 ’à tort ou à raison nous faisons à l’Amérique : «  Là-bas , répétons-nous, tout se ressemble ! » (Que dirions-nous d’autres régi
85 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
122 ’image du réveil est trompeuse. Je n’ai pas senti là-bas l’essor d’un peuple jeune, sa confiance dans l’avenir, ses projets ex
86 1952, {Title}. La vie religieuse aux États-Unis (1942-1945) (1952)
123 ur place, pendant les six années que j’ai passées là-bas , de 1941 à 1947. Je recommencerai ma description par l’extérieur, par
124 te de confessions différentes, ou comme on le dit là-bas , de « dénominations » différentes : l’un baptiste, l’autre méthodiste
87 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue Europe-Amérique (juin-juillet 1952)
125 parfois les mêmes, plus chez beaucoup l’idée que là-bas , la démocratie marche mieux, l’avenir est plus ouvert, et les rapport
88 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
126 parfois les mêmes, plus chez beaucoup l’idée que là-bas , la démocratie marche mieux, l’avenir est plus ouvert, et les rapport
89 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
127 antes, défends-moi, de peur que je ne sois retenu là-bas (en enfer) ; en tous lieux je me tiens pour ton prisonnier et, réconf
90 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
128 iniens mais, disaient-ils sans honte, rentrant de là-bas , les peuples satellites et leurs chefs « adorés ». (M. Pierre Cot par
91 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
129 , ces notions ne sont point parvenues à provoquer là-bas les mêmes effets, à dégager le même rayonnement, ni même à provoquer
92 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
130 e en se tapant sur la cuisse comment « ils » sont là-bas , étonnants et risibles… Si l’on songe au Führer, au Duce, à Staline,
93 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
131 er en France. « J’ai certains devoirs à accomplir là-bas . — Qui êtes-vous ? — Vous pouvez voir mon nom sur ce passeport. — Que
132 aux motifs fortuits et théoriques de son activité là-bas est venu s’ajouter, au cours des ans, un désir ardent et sincère de p
133 tionnés avec avidité sur tout ce qui se passait «  là-bas  ». En dépit de toutes les précautions qui avaient été prises à Londre
94 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 3. Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
134 raste l’Europe et l’Amérique : ce que l’on trouve là-bas n’est qu’un développement de nos races et de notre genre de vie : en
135 prouve que tout poète européen, tout individu qui là-bas se lève pour énoncer une pensée originale, manifester une force activ
136 rolétaires, tranquillité que les gouvernements de là-bas s’efforcent d’acheter et qu’ils obtiennent tout au plus pour un laps
137 de moi personnellement, mais de la pensée russe. Là-bas , il y avait combat et logique ; là-bas le Français n’était que França
138 sée russe. Là-bas, il y avait combat et logique ; là-bas le Français n’était que Français, l’Allemand qu’Allemand, et cela ave
95 1962, Arts, articles (1952-1965). Le monde entier irrite l’Europe et la méprise autant qu’il la jalouse ! (20 juin 1962)
139 s de nos États et de nos firmes, qui transportent là-bas toutes nos rivalités, des assistants techniques qui ne savent pas gra
96 1962, Articles divers (1957-1962). La conjuration des officiers en juin 1940 : Journal d’un témoin III (26 juin 1962)
140 venir que de l’Amérique. Peut-être bien était-ce là-bas qu’il me serait donné, quoique « neutre », de faire la guerre à ma fa
97 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
141 s de nos États et de nos firmes, qui transportent là-bas toutes nos rivalités, des assistants techniques qui ne savent pas gra
98 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
142 pour noyau quelques peintres qui allaient changer là-bas le cours des arts, Max Ernst, Matta, Tanguy, parfois Masson et toujou
99 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
143 pour noyau quelques peintres qui allaient changer là-bas le cours des arts : Max Ernst, Matta, Tanguy, parfois Masson et toujo
100 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
144 —, purs états d’âmes ! Ces « jardins de Bordeaux, là-bas  », cette Palmyre en ruine « aux plaines du désert », et ce Gothard d’