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constatation : c’est qu’il ne s’agit pas pour le
légiste
d’établir des équilibres stériles ou forcés, ni des compromis dégrada
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constatation : c’est qu’il ne s’agit pas pour le
légiste
d’établir des équilibres stériles ou forcés, ni des compromis dégrada
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. Le langage diffère, à vrai dire, car hélas, nos
légistes
modernes ont perdu le secret du beau style énergique. Mais c’est surt
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règles aux hommes publics : princes, magistrats,
légistes
. À un stade nouveau, l’éducation du peuple était faite par ces instit
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France, peut être datée de cette déclaration des
légistes
du Philippe de Bel : « Le Roy de France est empereur en son royaume »
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France, peut être datée de cette déclaration des
légistes
de Philippe le Bel : « Le Roy de France est empereur en son royaume »
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intérêts des monarchies en formation sont ceux du
légiste
français Pierre Dubois (1306-1307) et du partisan politique Dante Ali
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ndre. Cela commence en 1308, quand Pierre Dubois,
légiste
de Philippe le Bel, adresse à tous les princes d’Europe une lettre ou
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ançaise l’a supprimée par les soins diligents des
légistes
gaullistes, qui rappellent ceux de Philippe le Bel affirmant pour le
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France, peut être datée de cette déclaration des
légistes
de Philippe le Bel : « Le Roy de France est empereur en son royaume »
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noscentes, selon la formule mise au point par les
légistes
de Philippe le Bel, vers 1300. Qu’en est-il alors de la fameuse proph
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un supérieur sur ses terres) selon la formule des
légistes
de Philippe le Bel. Comment pourrait-il récuser sa responsabilité ? S
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e, notamment. Lorsqu’il se fait proclamer par ses
légistes
« empereur en son royaume », et lorsqu’il satellise en Avignon la pap
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ilippe le Bel, qui s’est laissé persuader par ses
légistes
que « le roi de France est empereur en son royaume ». C’est pour cela
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le même temps qu’il s’est fait proclamer par ses
légistes
« empereur en son royaume… ne reconnaissant aucun supérieur sur ses t
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le même temps qu’il s’est fait proclamer par ses
légistes
« empereur en son royaume, … ne reconnaissant aucun supérieur sur ses
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fin du xiie et les débuts du xiiie siècle. Les
légistes
de Philippe le Bel vont proclamer que le roi de France est « empereur
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e de son prince », écrit Bodin, dans l’esprit des
légistes
de Philippe le Bel, et relançant ce « mouvement ininterrompu vers la
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roi de France, le premier, fait déclarer par ses
légistes
qu’il ne reconnaît rien au-dessus de lui. En disant cela, il s’adress
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ns commenceront à se manifester comme telles. Les
légistes
de Philippe le Bel l’ont exprimé ainsi : « Le Roy de France est emper
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es États. Cela correspond à la fameuse phrase des
légistes
de Philippe le Bel, selon lesquels le roi de France est souverain en