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et de toujours. Tout est pur aux « petits purs ».
Laissons
cela, on se guérit toujours trop tôt de ses vingt ans. Il y a plus gr
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scandaliser les « petits purs » marxisants. Nous
laissons
volontiers à ces honnêtes fonctionnaires le monopole de leurs révolut
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ulement le Parlement n’agit pas, non seulement il
laisse
agir à sa place des fonctionnaires dont ce n’est pas le rôle, mais il
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é radical. « Nous savons trop qu’au point où on a
laissé
aller les choses, il n’y a plus pour le moment d’autre politique poss
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nt, tantôt ici, tantôt [p . 16] là, mais sans se
laisser
emporter par trop violemment. C’est à eux que la puissance finira par
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crucifie ! » Et les documents innombrables qu’ont
laissés
les protestants de l’époque25 nous montrent par ailleurs que les « cr
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action réformée, qui se refuse énergiquement à se
laisser
imposer « la religion du roi » ; — la faction « étatiste », plus ou m
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avoir ou de Cachin qui n’ose pas le dire, je vous
laisse
à juger lequel est le plus dangereux ; ou encore le moins efficace.
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votre système « fédéraliste » ? Et, de plus, vous
laissez
de côté cette nécessité du déploiement physique de l’homme… Moi. — N
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ploiement physique de l’homme… Moi. — Nous ne la
laissons
pas de côté. Nous voulons la transposer sur un plan autre que celui d
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une garenne se dépeuple, il faut, pour un temps,
laisser
le fusil au râtelier. 38. Je n’insiste pas sur l’abaissement immédia
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is ce mens n’est pas l’esprit pur d’une élite qui
laisse
les mains libres aux affairistes et aux politiciens. L’esprit, le spi
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reste est affaire de technique — ou de patience. (
Laisser
le pouvoir, abandonné à ses manies, se gripper ou se désarticuler lui
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’homme peut donner davantage », pour peu qu’il se
laisse
faire par la dictature stalinienne. Mais qu’est-ce que « donner davan
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riale autrement efficace sur les ouvriers, et qui
laisse
loin derrière elle les violences fascistes52 ; la vérité humaine par
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t de traiter de « fascistes » tous ceux qui ne se
laissent
pas impressionner par la puissance offensive de l’Armée rouge (Pierre
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de leur existence — un sou est un sou, ne pas se
laisser
marcher sur les pieds, chacun pour soi et Dieu pour tous, etc. —, c’e
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, les nations jeunes, faute d’un autre modèle, se
laisseront
engager dans des imitations monstrueuses du jacobinisme. C’est à la F
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r, l’utiliser au profit de l’homme. Elles se sont
laissé
envahir, puis dominer par ses mécanismes, aboutissant ainsi, à plusie
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antes. La Grande Jacquerie de 1357, par contre, a
laissé
de profondes traces psychologiques. Mais le xive siècle ne fut pas s
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sée et que les dettes contractées par l’esprit ne
laissaient
même plus une possibilité de concordat. Déjà les dictatures réglaient