1
L’union ? Bien sûr ! Mais les gouvernements ne se
laisseront
pas faire. Ce cercle vicieux n’est pas encore brisé. (Il ne s’en faut
2
at de résistance morale diminuée où vient de nous
laisser
la guerre d’Hitler. Ces chances paraissent très faibles en vérité. L’
3
sultant de tensions innombrables. Cela on nous le
laisse
encore, et, à vrai dire, c’est le plus difficile à prendre ! Mais c’e
4
oir. J’en connais peu qui aient l’intention de le
laisser
limiter, et c’est pourtant ce que nous leur demandons. Tous les gouve
5
ion sobre et ferme que, cette fois-ci, on ne nous
laissera
plus le temps de rater. Clichés mortels Après le congrès de Mon
6
e, tremblons pour lui, car ils ont la dent dure !
Laissons
-leur le mot s’ils y tiennent. Tant qu’ils nous laissent la chose, nou
7
ns-leur le mot s’ils y tiennent. Tant qu’ils nous
laissent
la chose, nous serons contents. Il n’en reste pas moins que l’opposit
8
aire. Elle appauvrit nos échanges culturels. Elle
laisse
chacune de nos patries incapable de sauvegarder son autonomie politiq
9
éraux et qui n’engagent à rien, mais qui du moins
laissent
les portes ouvertes. À la faveur de ces hésitations, confusions et ma
10
t, je répondrai : dans ce cas, soyons sérieux, et
laissons
-nous coloniser le plus vite possible. Un homme dont il me plaît d’inv
11
jour où le désir secret de l’Europe serait de se
laisser
gouverner par une commission d’experts américains… Et, d’autre part,
12
aire. Elle appauvrit nos échanges culturels. Elle
laisse
chacune de nos patries incapable de sauvegarder son autonomie politiq
13
s ; b) le devoir qui incombe aux gouvernements de
laisser
chaque communauté donner satisfaction à ce droit, indépendamment de t