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cette « idée » soit abolie, le père de la Brière
lance
un vibrant appel aux écrivains : qu’ils nous écrivent des romans cont
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au hasard, entraînent les jeunes à hue et à dia,
lancent
des modes, les renient, se persuadent de l’importance de leurs capric
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s. On n’a qu’à se baisser, vraiment. Des éditeurs
lancent
chaque automne leur douzaine de nouveaux romanciers. Quand ils en pub
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n au haut de la colline. Simard et moi leur avons
lancé
quelques pierres, pour voir. Ils s’éloignaient un peu, en se retourna