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de son front ; ses yeux, dessous, étincelaient et
lançaient
des éclairs chargés d’amour ; ses cornes s’élevaient, l’une en face d
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s, dans la Méditerranée anté-homérique, s’étaient
lancés
pareillement à la quête d’une Terre occidentale, qu’en leur langue, i
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s à l’union des princes de l’Europe n’ont-ils été
lancés
— en vain d’ailleurs — qu’au début du xive siècle ? Ne serait-ce poi
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ein à la seule puissance de l’Europe qui puisse y
lancer
de grandes révolutions. D’où l’idée d’instituer deux grands groupes
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lié son nom au principe de l’utilitarisme : il a
lancé
l’idée d’une législation internationale dans ses Principles of Intern
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onté. En pleine guerre des nations, Romains avait
lancé
un pamphlet : Pour que l’Europe soit, dont l’écho fut vite étouffé pa
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s haut, au mouvement personnaliste qui, dès 1933,
lançait
le mot d’ordre de « l’engagement », c’est-à-dire, à ce moment-là, du
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ront plus cette foi radicale en eux-mêmes qui les
lance
, énergiques, audacieux, tenaces, à la capture des grandes idées, nouv
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res. En 1922, le comte Richard Coudenhove-Kalergi
lançait
, par la voie de la presse allemande et autrichienne, un premier appel