1 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
1 ssise à cette union. Mais : 1° les différences de langue , de religion, de « race », de coutumes et de niveau de vie entre Bret
2 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
2 e nations, celles-ci correspondant d’ailleurs aux langues , aux coutumes folkloriques, et aux frontières naturelles (chaînes de
3 sieurs centaines de titres, parus dans toutes nos langues , sans parler de milliers de brochures. Cet effort est immense. Est-il
4 érêt européen, et largement diffusés en plusieurs langues . Des plans de causerie , établis en tenant compte des milieux popula
5 ation, donc ouverte à l’avenir. 19. On parle 6 langues en France, 4 en Suisse, 2 en Belgique, tandis que l’allemand est parl
3 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
6 stiné au grand rassemblement « des nations et des langues  » qu’annonce l’Apocalypse. Avec cette source judéo-chrétienne vient c
7 éontologie, la paléographie, le déchiffrement des langues mortes, l’édition critique des palimpsestes, la datation par le carbo
8 de réduire des réalités aussi hétérogènes que la langue , la défense militaire, la religion, la nature du sous-sol exploité et
9 e ces vingt-trois fils (ou « nations », ou même «  langues  », selon les textes) se verront réunis en une famille, ils sauront bi
4 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
10 ales, bailliages et pays sujets, toutes unités de langues et d’économies fort diverses. Ce long processus d’agrégations contrac
11 phique et topographique, soit par les différentes langues , les différentes religions et cette extrême différence de mœurs qui e
12 ve où chaque canton se trouve organisé suivant sa langue , sa religion, ses mœurs, son intérêt et son opinion ». L’année suivan
13 ion géographique, des mœurs, des antécédents, une langue , qui nous distingue des confédérés, nous ne pouvons vouloir un ordre
5 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
14 ui se comprend, quand on le sait, dans toutes les langues . Combien d’hommes et de femmes hésitant longuement sur le seuil fasci
6 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
15 stitue une nation, ce n’est pas de parler la même langue ou d’appartenir au même groupe ethnographique, c’est d’avoir fait ens
16 venons de dire de la race, il faut le dire de la langue . La langue invite à se réunir ; elle n’y force pas. Les États-Unis et
17 dire de la race, il faut le dire de la langue. La langue invite à se réunir ; elle n’y force pas. Les États-Unis et l’Angleter
18 l’Amérique espagnole et l’Espagne parlent la même langue et ne forment pas une seule nation. Au contraire, la Suisse, si bien
19 e ses différentes parties, compte trois ou quatre langues . Il y a dans l’homme quelque chose de supérieur à la langue : c’est l
20 y a dans l’homme quelque chose de supérieur à la langue  : c’est la volonté. La volonté de la Suisse d’être unie, malgré la va
7 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
21 ur d’une vingtaine de volumes — traduits en douze langues — directeur du Centre européen de la culture, engagé dans le mouvemen
8 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
22 vers le temps », Bulletin de l’Académie royale de langue et littérature françaises, Bruxelles, 1961, p. 214-221. Précédé de la
9 1962, Articles divers (1957-1962). La culture et l’union de l’Europe (avril 1962)
23 e siècle — en s’appuyant sur la diversité de nos langues . La première tâche sera donc d’illustrer l’unité de base de toutes ce
10 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
24 vain. Il a créé un style et un vocabulaire, et la langue des idées en France, et Bossuet lui concède « la gloire d’avoir aussi
25 nes, aient été premièrement illustrées dans notre langue par ses écrits : fait d’histoire mais non pas de présence continuée.